Dans son émission « Bas les masques » ou encore « Vie privée, vie publique », Mireille Dumas a mis en lumière des parcours de vie peu écoutés, et pourtant loin d’être des cas isolés. Alors que les féminicides étaient qualifiés de « crimes passionnels », elle dénonçait déjà les violences perpétrées à l’encontre des femmes, des enfants et des minorités de genre. Quel regard porte-t-elle sur l’évolution de la société sur ces questions ? Comment explique-t-elle son intérêt pour les autres ? Cette semaine, Mireille Dumas est l’invitée de Rebecca Fitoussi dans « Un Monde un Regard ».
Ni optimisme ni pessimisme : la collapsologie comme moteur de l’activisme
Les rapports, études et travaux de recherches s’égrènent pour nous livrer leur verdict sans appel : un dérèglement climatique majeur est enclenché, la biodiversité s’effondre et les ressources de la planète disparaissent.Notre modèle de société doit profondément muter afin d’espérer maintenir sur Terre des conditions vivables. Nos politiques, élus sur des promesses de croissance, d’augmentation du « pouvoir d’achat » et du niveau de vie ne peuvent pas tenir ce discours, et préfèrent quant à eux parler de « transition » voir de « croissance verte »Hashtag décrypte cette semaine l’opposition entre ces deux visions et le sursaut écologiste qu’illustrent les mobilisations pour le climat, Greta Thunberg ou encore l’Affaire du Siècle, notamment sur les réseaux sociaux.
Par Benjamin Bataille
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