Vivre longtemps… mais à quel prix ?

Vivre longtemps… mais à quel prix ?

Si l'espérance de vie continue à progresser en France, quelle place laissons-nous aux personnes âgées dans notre société ? Comment les accompagnons-nous ? Ce mois-ci "Ma voix compte" est allée à la rencontre des plus de 65 ans. Entre perte d'autonomie et désir de jouer encore un rôle, nous avons suivi le quotidien de deux couples, à la ville et à la campagne. Isolement, mobilité, revenus, vieilles avec leurs mots, ils nous détaillent leur vie de tous les jours et les tracas qui sont les leurs. Dans cette émission nous irons aussi à la rencontre de ces enfants qui viennent en aide à leurs parents. Un sujet que connaît bien notre invité Armelle de Guibert, déléguée générale de l'association des petits frères des pauvres.
Public Sénat

Temps de lecture :

0 min

Publié le

Mis à jour le

Dans la même thématique

Majorité numérique à 15 ans : « La problématique, c’est le système pour vérifier l’âge »
5min

Société

Majorité numérique à 15 ans : « La problématique, c’est le système pour vérifier l’âge »

Dans son discours sur l’Europe à la Sorbonne, Emmanuel Macron a appelé à reprendre le contrôle sur les contenus en ligne et à protéger la jeunesse des contenus dangereux. Pour Olivia Tambou, maître de conférences, la clé d’une telle réglementation au niveau européen réside dans la vérification de l’âge. La sénatrice Catherine Morin-Desailly appelle à une réflexion plus globale sur les usages et la formation.

Le

Police operation de lutte contre les depots sauvages a Nice
5min

Société

Couvre-feu pour les mineurs : quel pouvoir pour les maires ?

La décision de Gérald Darmanin d’instaurer un couvre-feu pour les mineurs en Guadeloupe inspire les maires de métropole. À Béziers, la mesure est en vigueur depuis lundi. À Nice, Christian Estrosi songe aussi à la mettre en place. Dans quelle mesure les maires peuvent-ils restreindre la liberté de circuler ?

Le

Manifestation contre les violences sur les mineurs, Toulouse
4min

Société

Relaxe d’un homme accusé de violences familiales : le droit de correction invoqué par les juges est « contraire à la loi »

Ce 18 avril, la cour d’appel de Metz a relaxé un policier condamné en première instance pour des faits de violences sur ses enfants et sa compagne. Dans leur arrêt, les juges ont indiqué qu’un « droit de correction est reconnu aux parents ». Une décision qui indigne la sénatrice Marie-Pierre de la Gontrie, rapporteure d’une proposition de loi qui interdit les « violences éducatives » depuis 2019.

Le