Depuis le 7 octobre, l'organisation qualifiée de terroriste par la plupart des pays occidentaux, mène une attaque d’ampleur contre Israël, qui a fait des centaines de victimes. Retour sur l’histoire du Hamas, dont les attaques ouvrent une nouvelle page dramatique dans le conflit israélo-palestinien.
Les conséquences économiques de la guerre entre le Hamas et Israël pourraient encore aggraver l’inflation qui touche de nombreux pays dans le monde, attisée notamment par une nouvelle hausse du prix du pétrole.
Ce samedi, le Hamas a mené une attaque terroriste d’ampleur sur le territoire israélien, ciblant directement des villages, des habitations, ou encore un festival de musique techno. Plusieurs centaines de morts sont annoncés au sein de la population civile israélienne et palestinienne et une centaine d’otages pris par le Hamas. L’ampleur de cette opération, ainsi que les caractéristiques des populations capturées (femmes, enfants, personnes âgées), est inhabituelle. Cette stratégie du Hamas, qui vise à utiliser ces otages comme monnaie d’échange, place Israël dans une situation extrêmement difficile.
Samedi 7 octobre, le Hamas a lancé une attaque terroriste de grande ampleur contre Israël, faisant des centaines de morts. L’offensive a été menée depuis la Bande de Gaza, où des otages israéliens ont été ramenés. Depuis plusieurs décennies, l’enclave est le lieu de la mobilisation politique palestinienne. Explications.
Interrogés par Public Sénat, plusieurs membres de la commission des affaires étrangères du Sénat réagissent à l’offensive lancée ce week-end par le Hamas dans le sud d’Israël. Ils pointent notamment le rôle joué par l’Iran, qui pourrait fracturer l’ensemble de la région.
Après l’attaque lancée samedi par le Hamas contre Israël qui a fait plus de 700 morts côté israélien, la commission des Affaires étrangères exprime « son soutien et sa solidarité avec le peuple israélien »
Alors que les habitants du Haut-Karabagh continuent de fuir leur territoire par dizaines de milliers après l’invasion par Bakou de la région enclavée, le président du Conseil européen Charles Michel apporte son soutien au rapprochement entre l’Arménie et l’Union européenne au micro de Caroline de Camaret dans l'émission Ici l'Europe.
De passage en France et au Sénat où il s’est entretenu avec Gérard Larcher, Ahmad Massoud, opposant afghan et fils du commandant Massoud, appelle la communauté internationale à cesser « sa politique passive » à l’égard des talibans. Interview.
Alors que la ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, était, ce 3 octobre en Arménie à Erevan, elle a annoncé la formalisation d’un accord sur la livraison de matériel militaire, en plus d’une augmentation de l’aide humanitaire pour les réfugiés du Haut-Karabakh. La diplomatie française tente de mobiliser le camp occidental aux côtés de l’Arménie qui craint une incursion de l’Azerbaïdjan sur son territoire souverain.
En pleine campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2024, les deux principaux candidats sont concernés, directement (pour Donald Trump) ou indirectement (Joe Biden), par des affaires judiciaires. Pour Elisa Chelle, professeure de science politique à l’Université Paris Nanterre et rédactrice en chef de la revue Politique américaine, le scrutin de novembre 2024 électrise la société américaine.
Invité de la matinale de Public Sénat, Franck Papazian, co-président du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France, est revenu sur la situation dans la région du Haut-Karabakh, envahi par l’Azerbaïdjan le 19 septembre. Il appelle la communauté internationale à sanctionner l’Azerbaïdjan et stopper le nettoyage ethnique en cours.
Depuis la mi-septembre, une dizaine de milliers de migrants sont arrivés sur l’île italienne de Lampedusa en Méditerranée. Cette situation de crise remet au centre du débat politique la gestion et l’accueil de personnes arrivées clandestinement en Europe. Et une fois encore, met en lumière l’impuissance de l’Union européenne à gérer collectivement l’arrivée massive de migrants.
La république autoproclamée du Haut-Karabagh a annoncé, ce 28 septembre, la dissolution de ses institutions après l’offensive victorieuse de l’Azerbaïdjan, lancée le 19 septembre. Un tournant historique pour un conflit commencé en 1988. Avec la reprise des tensions en 2020, la situation de cette république autoproclamée du Caucase restait précaire. Explication des conséquences de la disparition de l’Etat séparatiste du Haut-Karabakh avec Taline Ter Minassian, spécialiste de l’histoire contemporaine du Caucase, professeure des universités à l’INALCO, directrice de l’observatoire des Etats post-soviétiques et auteure de « Sur l’échiquier du Grand Jeu » paru aux éditions Nouveau Monde en 2023.
Dimanche 24 septembre, Emmanuel Macron annonçait, suite à la prise de pouvoir de la junte militaire, le retrait des 1 500 soldats français présents au Niger. Un départ historique après l’intervention de l’armée française au Mali en 2013. Explications des enjeux avec François-Xavier Freland, ancien correspondant de France 24 au Mali, reporter en Afrique pour Jeune Afrique et auteur de « Mali, au-delà du jihad » aux éditions Anamosa en 2017.
Alors que les coups d’Etat se multiplient en Afrique de l’Ouest et au Sahel, cette semaine « Ici l’Europe », s’interroge sur l’état des relations entre les deux continents, à l’heure où l’influence de de la Russie et de la Chine ne cesse de gagner du terrain ,;et alors que celle de la France ne cesse de reculer.
Invitée de la matinale de Public Sénat ce vendredi 22 septembre, la sénatrice des Bouches-du-Rhône Valérie Boyer a estimé que les pays européens n’étaient plus en mesure d’accueillir les migrants qui traversent la Méditerranée. Le pape François, qui a fait de la défense des migrants l’un des grands axes de son pontificat, a également choisi de consacrer son déplacement dans la cité phocéenne à cette thématique.
Ce jeudi 21 septembre, le gouvernement polonais a annoncé l’arrêt des livraisons d’armes vers l’Ukraine. En cause, la fin de l’interdiction de l’exportation des céréales d’Ukraine vers les pays de l'Union européenne. Une mesure à laquelle s’opposent la Hongrie, la Slovaquie et la Pologne pour des raisons économiques, mais aussi pour des motifs de politique interne. Explications avec Dorota Dakowska, professeure de science politique à Sciences Po Aix et spécialiste des pays d’Europe centrale et orientale.
Le roi Charles III a été présenté à plusieurs parlementaires français ce jeudi, en marge d’un discours prononcé dans l’hémicycle du Sénat. Sa prise de parole a été chaudement accueillie par les députés et les sénateurs, malgré la grogne de certains élus communistes sur cette visite.
Pour la première fois, un monarque anglais s’est adressé au Parlement français. Dans son discours au Sénat, jeudi 21 septembre, le roi Charles III a salué et rappelé l’importance des liens franco-britanniques. Il a également redit son attachement pour la biodiversité et la lutte contre le réchauffement climatique.
Le roi Charles III a pris la parole ce jeudi 21 septembre devant les parlementaires français, réunis au Sénat. Retrouvez, minute par minute, le déroulé de son intervention.