La présidente de la Commission européenne, l’Allemande Ursula von der Leyen, est candidate à sa succession. Quel est son bilan ? Pourra-t-elle conserver une majorité au Parlement européen ? C’est le débat de l’émission Ici l’Europe, sur France 24 et Public Sénat.
En deux ans, Emmanuel Macron a fortement évolué vis-à-vis de la Russie. Du médiateur, qui garde un contact direct avec Vladimir Poutine, appelant à ne pas « humilier » la Russie, le Président ne fixe aujourd’hui « aucune limite » et joue « l’ambiguïté stratégique », n’excluant pas l’envoi de troupes au sol. Retour sur cette métamorphose stratégique, avec les analyses de deux anciens ambassadeurs français à Moscou.
Des divisions au sein de la majorité sénatoriale se font jour entre le groupe LR et son allié centriste au Sénat sur l’opportunité de voter dès la semaine prochaine sur l’accord de libre-échange entre l’Union européenne et le Canada. Hervé Marseille et ses collègues veulent un renvoi en commission, craignant que le projet de loi de ratification soit sacrifié sur « l’autel des postures politiques ».
Invité de la matinale de Public Sénat, l’ancien président du Conseil italien Enrico Letta plaide pour la construction d’une Europe de la défense. Face à la menace russe, « c’est notre sécurité pour l’avenir » qui se joue, alerte-t-il.
Interrogé sur France 2 et TF1 au sujet de ses récentes déclarations sur l’envoi possible de troupes françaises en Ukraine, le président de la République a affirmé que « la sécurité de l’Europe et des Français » se jouait dans ce conflit.
Les sénateurs ont largement voté en faveur de l’accord de sécurité conclu entre Paris et Kiev. Revivez les temps forts de la déclaration de Gabriel Attal et des groupes politiques sur le soutien à l'Ukraine.
Juste après le premier débat des européennes organisé, jeudi soir, par Public Sénat, Emmanuel Macron s’exprimera à 20 heures, sur France 2 et TF1. Il reviendra notamment sur l’examen au Parlement de l’accord bilatéral entre la France et l’Ukraine. Pour Emilie Zapalski, communicante et fondatrice d’Emilie Conseil, le chef de l’Etat va de nouveau « dramatiser l’enjeu et continuer d’attaquer le RN sur ses positions pro-russes ».
L’accord bilatéral de sécurité signé le 16 février par Emmanuel Macron et Volodymyr Zelensky sera débattu ce mardi à l’Assemblée nationale et mercredi au Sénat. Il prévoit notamment la fourniture de 3 milliards d’euros d’aides militaires supplémentaires en 2024.
Le Parlement va se prononcer dans les prochaines heures sur l’accord de soutien à Kiev. Deux principales forces d’opposition refuseront de le soutenir : le RN et la France insoumise.
Invité de Bonjour Chez Vous sur Public Sénat ce mardi 12 mars, le général Vincent Desportes, professeur de stratégie et ancien directeur de l’Ecole de guerre, estime que pour contrer la Russie de Vladimir Poutine, la France doit montrer un visage uni. Selon lui, la Russie pourrait ne pas s’arrêter à l’invasion de l’Ukraine et l’Europe n’est pas prête militairement.
Dans quelques mois, nous allons élire des eurodéputé(e)s. Mais en fait, que font-ils au quotidien? A quoi ça ressemble une journée d’eurodéputé(e) ? Pour le savoir nous avons suivi Catherine Chabaud, du parti Renaissance/ RENEW Europe et Arnaud Danjean, membre des Républicains/ PPE (Parti populaire européen). Ils ont choisi tous les deux de ne pas se représenter, pour des raisons qui leurs sont personnelles, mais tous les deux ont voulu nous parler de ce mandat si particulier, voici donc un épisode « vis ma vie d’eurodéputé(e). » Vous souhaitez soutenir Trait d’Union ou en savoir plus ? Rendez-vous sur www.traitdunionpodcast.com
A trois mois des élections européennes, Ici l’Europe, vous propose une série de grands débats consacrés aux enjeux de ce scrutin dans les différents Etats-membres. Ce numéro est consacré à l’Italie et au bilan de la politique migratoire du gouvernement d’union des droites de Giorgia Meloni, contraint d’accepter une immigration massive pour des raisons économiques.
Auditionnés par le groupe écologiste du Sénat, exactement cinq mois après les attaques terroristes perpétrées par le Hamas le 7 octobre dernier, les médecins humanitaires intervenant dans la bande de Gaza sont revenus sur la situation humanitaire désastreuse de la petite enclave palestinienne de 350 km2 pour 2.2 millions d’habitants. Tous réclament un « cessez-le-feu immédiat », face à ce qu’ils décrivent comme une « catastrophe humanitaire ».
Devant les chefs de partis, qu’il a invités à l’Elysée, Emmanuel Macron a assuré qu’il ne doit y avoir « aucune limite dans l’intervention de la France » en Ukraine. Si tous soutiennent Kiev, les oppositions expriment leur rejet de toute « escalade guerrière » qu’elles jugent « irresponsable ». Certains, comme Eric Ciotti, pointe « le soupçon d’une instrumentalisation » pour les élections européennes.
Invité de Public Sénat, le ministre délégué chargé de l’Europe, Jean-Noël Barrot, est revenu sur les déclarations récentes du président de la République sur le soutien à l’Ukraine, tout en affirmant la détermination du gouvernement dans son opposition à la Russie.
Alors que la commission d’enquête sénatoriale sur la réponse à apporter aux influences étrangères a débuté ses travaux à la fin du mois de février, la Russie a récemment divulgué une conversation confidentielle entre membres de l'État-major allemand. A l'approche des élections européennes de juin 2024, les opérations d'influence russes s'intensifient.
Alors que le Parlement réuni en Congrès a inscrit, le 4 mars, la liberté de recourir à l’interruption volontaire de grossesse, la presse internationale y voit une « première mondial» alors que le sujet reste extrêmement clivant à travers la planète
Ce mardi, dans 15 Etats américains, des millions d’Américains sont appelés aux urnes pour désigner leurs prétendants démocrate et républicain à l’élection présidentielle de novembre. Cette journée permet traditionnellement de donner une indication sur les candidats qui seront désignés par leurs partis. Cette année peu de suspense dans les deux camps, Joe Biden et Donald Trump sont bien partis pour se faire face de nouveau en novembre.
Annoncé par l’Elysée le mardi 27 février dernier le lendemain des propos polémiques d’Emmanuel Macron qui avait évoqué la possibilité de l’envoi de troupes sur le sol ukrainien, le débat sur le soutien de la France au régime ukrainien se tiendra finalement le 12 mars à l’Assemblée nationale et le 13 mars au Sénat.