Invité le 10 octobre sur le plateau de Public Sénat, le général Dominique Trinquand qualifie les attaques du Hamas contre la population israélienne de « crimes contre l’humanité ». Alors que les autorités israéliennes annoncent plus de 1 000 morts dans les attaques perpétrées depuis le 7 octobre, la question de la qualification des crimes commis se pose.
Après les attaques terroristes du Hamas sur Israël, et la contre-offensive israélienne sur la bande de Gaza, la perspective d’une recrudescence d’actes antisémites sur le sol français refait surface. Pour le président du Fonds social juif unifié, un renforcement de la vigilance s’impose, « en raison des évènements du passé ».
Depuis le lancement des attaques du Hamas le 7 octobre, les erreurs du Premier ministre israélien dans ces tragiques événements sont pointées du doigt. De quoi Benjamin Netanyahou est-il responsable ? Alors que l’heure est à l’union nationale, son gouvernement peut-il résister à la crise ?
Paris et Tel-Aviv ont tissé des rapports depuis la naissance de l’Etat hébreu, rapports marqués à la fois par la volonté de la France de maintenir une politique étrangère tournée vers le monde arabe et par sa position sur le conflit israélo-palestinien. Vue d’ensemble.
Après un imbroglio au sein des instances européennes, l’Union européenne a annoncé la « révision » et non la suspension de son aide à la population palestinienne. Chez les LR, le sujet fait débat. Eric Ciotti veut suspendre l’aide française, les sénateurs Roger Karoutchi et Cédric Perrin, président de la commission des affaires étrangères, sont pour suspendre l’aide européenne. Mais pour Jean-François Rapin, président de la commission des affaires européennes, ce serait « une erreur ».
En marge du séminaire franco-allemand à Hambourg, le président de la République a été interrogé sur les disparus et les otages français retenus par le Hamas.
La vague d’attaques du groupe islamiste devrait avoir une première conséquence géopolitique en freinant le rapprochement que Riyad et Tel Aviv ont tenté d’opérer ces derniers mois.
Depuis le 7 octobre, l'organisation qualifiée de terroriste par la plupart des pays occidentaux, mène une attaque d’ampleur contre Israël, qui a fait des centaines de victimes. Retour sur l’histoire du Hamas, dont les attaques ouvrent une nouvelle page dramatique dans le conflit israélo-palestinien.
Les conséquences économiques de la guerre entre le Hamas et Israël pourraient encore aggraver l’inflation qui touche de nombreux pays dans le monde, attisée notamment par une nouvelle hausse du prix du pétrole.
Ce samedi, le Hamas a mené une attaque terroriste d’ampleur sur le territoire israélien, ciblant directement des villages, des habitations, ou encore un festival de musique techno. Plusieurs centaines de morts sont annoncés au sein de la population civile israélienne et palestinienne et une centaine d’otages pris par le Hamas. L’ampleur de cette opération, ainsi que les caractéristiques des populations capturées (femmes, enfants, personnes âgées), est inhabituelle. Cette stratégie du Hamas, qui vise à utiliser ces otages comme monnaie d’échange, place Israël dans une situation extrêmement difficile.
Samedi 7 octobre, le Hamas a lancé une attaque terroriste de grande ampleur contre Israël, faisant des centaines de morts. L’offensive a été menée depuis la Bande de Gaza, où des otages israéliens ont été ramenés. Depuis plusieurs décennies, l’enclave est le lieu de la mobilisation politique palestinienne. Explications.
Interrogés par Public Sénat, plusieurs membres de la commission des affaires étrangères du Sénat réagissent à l’offensive lancée ce week-end par le Hamas dans le sud d’Israël. Ils pointent notamment le rôle joué par l’Iran, qui pourrait fracturer l’ensemble de la région.
Après l’attaque lancée samedi par le Hamas contre Israël qui a fait plus de 700 morts côté israélien, la commission des Affaires étrangères exprime « son soutien et sa solidarité avec le peuple israélien »
Alors que les habitants du Haut-Karabagh continuent de fuir leur territoire par dizaines de milliers après l’invasion par Bakou de la région enclavée, le président du Conseil européen Charles Michel apporte son soutien au rapprochement entre l’Arménie et l’Union européenne au micro de Caroline de Camaret dans l'émission Ici l'Europe.
De passage en France et au Sénat où il s’est entretenu avec Gérard Larcher, Ahmad Massoud, opposant afghan et fils du commandant Massoud, appelle la communauté internationale à cesser « sa politique passive » à l’égard des talibans. Interview.
Alors que la ministre des Affaires étrangères, Catherine Colonna, était, ce 3 octobre en Arménie à Erevan, elle a annoncé la formalisation d’un accord sur la livraison de matériel militaire, en plus d’une augmentation de l’aide humanitaire pour les réfugiés du Haut-Karabakh. La diplomatie française tente de mobiliser le camp occidental aux côtés de l’Arménie qui craint une incursion de l’Azerbaïdjan sur son territoire souverain.
En pleine campagne électorale pour l’élection présidentielle de 2024, les deux principaux candidats sont concernés, directement (pour Donald Trump) ou indirectement (Joe Biden), par des affaires judiciaires. Pour Elisa Chelle, professeure de science politique à l’Université Paris Nanterre et rédactrice en chef de la revue Politique américaine, le scrutin de novembre 2024 électrise la société américaine.
Invité de la matinale de Public Sénat, Franck Papazian, co-président du Conseil de coordination des organisations arméniennes de France, est revenu sur la situation dans la région du Haut-Karabakh, envahi par l’Azerbaïdjan le 19 septembre. Il appelle la communauté internationale à sanctionner l’Azerbaïdjan et stopper le nettoyage ethnique en cours.
Depuis la mi-septembre, une dizaine de milliers de migrants sont arrivés sur l’île italienne de Lampedusa en Méditerranée. Cette situation de crise remet au centre du débat politique la gestion et l’accueil de personnes arrivées clandestinement en Europe. Et une fois encore, met en lumière l’impuissance de l’Union européenne à gérer collectivement l’arrivée massive de migrants.
La république autoproclamée du Haut-Karabagh a annoncé, ce 28 septembre, la dissolution de ses institutions après l’offensive victorieuse de l’Azerbaïdjan, lancée le 19 septembre. Un tournant historique pour un conflit commencé en 1988. Avec la reprise des tensions en 2020, la situation de cette république autoproclamée du Caucase restait précaire. Explication des conséquences de la disparition de l’Etat séparatiste du Haut-Karabakh avec Taline Ter Minassian, spécialiste de l’histoire contemporaine du Caucase, professeure des universités à l’INALCO, directrice de l’observatoire des Etats post-soviétiques et auteure de « Sur l’échiquier du Grand Jeu » paru aux éditions Nouveau Monde en 2023.