L’hôpital public, aujourd’hui en première ligne dans la lutte contre le Coronavirus, est en crise depuis des années. Soignants épuisés, urgences surchargées, impératifs économiques omniprésents : le documentaire « L’hôpital à fleur de peau » nous replonge dans le quotidien de l’hôpital de Gonesse (Val-d’Oise) avant la pandémie. Une réalité que connaît bien le sénateur et médecin Bernard Jomier. Il a accepté de nous livrer son regard sur ce film et la situation des hôpitaux en France.
Les participants à la Convention citoyenne pour le climat viennent, en pleine période de confinement, de remettre au gouvernement leurs mesures pour bâtir un plan de relance économique et écologique.
Pierre-Henri Gergonne chronique chaque semaine l'histoire de cette petite ville où la vie s'est figée. Aujourd’hui, il nous ouvre les portes de l’Ehpad de Brionne où la vie continue entre respect des gestes barrières, mesures de précautions et de nouvelles relations humaines entre résidants et soignants.
Julie est infirmière en EHPAD depuis 2 ans. Elle a contracté le coronavirus dans le cadre de son travail. Elle témoigne sur la situation de son établissement, le manque de masques et de moyens. Le sentiment d’abandon, d’être les sacrifiés de cette épidémie. « Une fois l’épidémie terminée, nous serons aux côtés des familles afin de porter plainte contre l’État pour mise en danger de la vie d’autrui. »
On n’a jamais autant ri sur les réseaux sociaux, ni autant partagé de vidéos et de visuels humoristiques. Analyse de ce phénomène à l’heure du confinement dans ce nouveau numéro de « Hashtag sur canapé ».
« Tout cela a été anticipé, organisé » mais pour faire face à la pandémie de Covid-19 qui ébranle aujourd’hui le monde, ce directeur d’hôpital dans les Hauts-de-France et toutes ses équipes ont dû apprendre à travailler autrement, à se former en un temps record, à créer de nouvelles unités de soin pour lutter contre un virus que l’on connaît mal, le tout dans l’urgence. Rencontre avec Maxime Morin, directeur du centre hospitalier de Roubaix, déterminé à faire face à cette crise.
Mécontent de la capacité de contrôle du parlement sur le gouvernement en période de confinement, le sénateur communiste des Hauts-de-Seine, Pierre Ouzoulias s’inquiète des conséquences sur l’avenir de l’enseignement supérieur et de la recherche.
Comment la presse quotidienne régionale s’adapte à cette crise sanitaire ? Tous les jours un responsable de rédaction répond à nos questions et évoque les difficultés pour poursuivre cette mission d’informer ses lecteurs.
Aujourd’hui dans la Revue de presse des Territoires, le dépistage impossible à réaliser dans les Ehpad de Troyes car il manque des tests (L’Est Eclair). 40 cas suspects sur le porte-avions Charles-de-Gaulle (Télégramme).
Le PIB a plongé de 6% au premier trimestre 2020, selon une estimation de la Banque de France. Le pire recul depuis 1945. Pour Eric Heyer, économiste à l’OFCE, l’État doit supporter le coût de cette crise pour permettre un vrai rebond économique après le confinement.
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Comment traverse-t-on la crise du Covid-19 quand on a 86 ans et qu’on habite un petit village d’Eure-et-Loir ? En continuant de s’habiller et de s’activer. Un remède que s’applique Georgette tous les jours.
A la Une de la presse régionale, le maire de Nice Christian Estrosi va rendre le port du masque obligatoire dans les espaces publics. D’autres villes vont prendre cette décision. A la Une de l’Alsace, l’organisation des élections municipales en cause après la mort du maire de Saint-Louis. Tous les chantiers sont à l’arrêt en Auvergne (La Montagne).
3 semaines que le confinement a démarré et pour l’heure les habitants d’Hérimoncourt respectent à peu près les mesures imposées. Mais voilà, le temps semble long, et puis le soleil apparaît de plus en plus tentant dans cette petite ville du Doubs.
Située dans le 15ème arrondissement de Paris, l’unité de soins palliatifs Jeanne Garnier accompagne la fin de vie des malades du Covid-19. C’est un bouleversement pour le personnel soignant.
Les semaines à venir seront cruciales. À Brionne, comme partout en France, seuls les commerces alimentaires et de santé font un bien dérisoire pied de nez à l'épidémie. Pierre-Henri Gergonne nous chronique chaque semaine l'histoire de cette petite ville où la vie s'est figée.
Les gestes sont précis. Professionnels sous l'aiguille d'une machine qui l'est tout autant. Il faut trois minutes - pas plus - à Liliana Gusatovic pour réaliser un masque qui demain rassurera ses utilisateurs quand il ne sauvera pas des vies. Comme chaque semaine, à l'heure du confinement, Pierre-Henri Gergonne nous chronique l'histoire de Brionne petite ville de l'Eure où la vie s'est figée.
Tous les commerces alimentaires connaissent actuellement des difficultés d’approvisionnement, souvent limitées à quelques produits. Mais pour certaines épiceries, c’est toute la livraison qui est à l’arrêt. Face aux grandes enseignes, les indépendants ont parfois du mal à remplir leurs rayons.
Depuis la mise en place du confinement le 17 mars, les établissements pénitentiaires sont en proie à de nombreux incidents. 44 mutineries ont été recensées et l’inquiétude des détenus comme des surveillants est grande face à la surpopulation carcérale et au manque de masques et de protection individuelle. Et ce, malgré les mesures prises pour désengorger les centres pénitentiaires et les maisons d’arrêt. Entretien avec Matteo Tiberghien qui a réalisé avec Lionel Brossard une cartographie des mutineries depuis le début du confinement pour le média local d’investigation Mediacité.