En cette journée nationale de commémoration des victimes du terrorisme, le Sénat a observé une minute de recueillement en début de séance, ce mardi 11 mars, pour se « souvenir des nombreuses victimes d’actes de terrorisme qui ont ensanglanté à plusieurs reprises notre pays », selon les mots du vice-président, Alain Marc.
Invitée de la matinale de Public Sénat, la députée NFP et co-fondatrice du mouvement “L’Après” Clémentine Autain qualifie le projet de Donald Trump de “dangereux pour le monde”, et ne voit plus dans les États-Unis “un allié pour la France”, alors qu’un sommet pour négocier la paix en Ukraine se tient ce mardi 11 mars en Arabie Saoudite entre Volodymyr Zelensky et la délégation américaine.
Lors d’une audition organisée par la commission des Affaires étrangères au Sénat, l’enseignant et spécialiste du monde arabe Adlene Mohammedi a livré une analyse de la récente dégradation des relations franco-algériennes et a appelé à ne pas céder à ce qu’il appelle la « tentation du sacrifice » de nos liens avec Alger.
Invitée de la matinale de Public Sénat, la porte-parole du gouvernement Sophie Primas se déclare en faveur de la candidature du ministre de l’Intérieur à la présidence du parti Les Républicains. Bruno Retailleau « veut porter une espérance pour la droite », et aujourd’hui au gouvernement, il en a « la légitimité », estime-t-elle.
Invité de la matinale de Public Sénat, le député LIOT et rapporteur général de la commission des finances à l’Assemblée nationale Charles de Courson s’est exprimé sur l’état des finances publiques en France et a pointé du doigt la responsabilité de l’ancien ministre de l’Économie, alors que l’enquête sur le dérapage du déficit public se poursuit à la Chambre basse.
Cinq ans après le Covid-19, la commission d’enquête sénatoriale sur les aides publiques versées aux grandes entreprises a auditionné l’économiste Maxime Combes et le journaliste Olivier Petitjean, auteurs de « Un pognon de dingue mais pour qui ? L'argent magique de la pandémie », pour interroger l’efficacité et le contrôle des subventions en période de crise.
Sur le plateau de « Bonjour chez vous ! », le vice-Président du Rassemblement national et député du Nord Sébastien Chenu a réagi à la proposition du président de la République de nommer Richard Ferrand à la tête du Conseil constitutionnel pour remplacer Laurent Fabius. Si pour le parlementaire, ce dernier « faisait plus de politique que de droit », le camp de Marine Le Pen restera « très vigilant à la neutralité » des Sages.
Invité de la matinale de Public Sénat, le vice-Président du Rassemblement national et député du Nord Sébastien Chenu a réagi à l’échec d’une nouvelle motion de censure déposée par les Insoumis contre François Bayrou, lundi 10 février. Pour le parlementaire, faire tomber le gouvernement n’a pas d’intérêt tant qu’Emmanuel Macron ne peut pas dissoudre à nouveau l’Assemblée nationale.
Alors qu’à l’Assemblée nationale, les députés s’apprêtent à examiner la proposition de loi pour accélérer et élargir la prise en charge des personnes atteintes de la maladie de Charcot, et d’autres « maladies évolutives graves », le sénateur Gilbert Bouchet, lui-même atteint et porteur du texte, évoque sa grande « satisfaction » en vue de l’adoption définitive de la loi ce lundi 10 février. La proposition a déjà été adoptée à l’unanimité à la Chambre haute, en octobre dernier.
Invitée de la matinale de Public Sénat, la députée Ensemble pour la République et ancienne porte-parole du gouvernement Barnier, Maud Bregeon appelle, comme Gérald Darmanin, à une « candidature unique de la droite et du centre » lors de la prochaine élection présidentielle, pour faire face à un Rassemblement national « de plus en plus puissant et de plus en plus structuré ».
À la veille de la commission mixte paritaire sur le projet de loi de finances 2025, le président du groupe Les Indépendants au Sénat Claude Malhuret s’insurge de la « polémique » à propos de l’expression « submersion » migratoire et soupçonne le Parti socialiste d’utiliser les mots du Premier ministre pour « prendre en otage » le budget et « faire monter les enchères » dans les négociations, actuellement à l’arrêt.
À l’occasion d’une table ronde organisée par la Commission de l’aménagement du territoire et du développement durable au Sénat, les acteurs du secteur ferroviaire ont pu faire un bilan d’étape de l’ouverture à la concurrence des lignes françaises, prévue par la loi pour un nouveau pacte ferroviaire adoptée en 2018. Malgré des premiers objectifs atteints, plusieurs défis restent à relever pour convaincre les voyageurs.