Que restera-t-il de la campagne 2022 dans quelques années ? Les présidentielles sont toujours des moments politiques intenses sous la Vᵉ République et certains slogans, affiches ou thèmes de campagne sont presque devenus mythiques. Retour sur ces morceaux d’histoire politique, entre mythes et manœuvres électorales, avec un deuxième épisode sur la campagne de 1995, pendant laquelle la « fracture sociale » de Jacques Chirac a été un thème de campagne aussi célèbre qu’évanescent après l’élection du « jeune loup » à l’Elysée. Contrairement à l’image d’un mangeur de pommes qui s’est durablement imposée.
Que restera-t-il de la campagne 2022 dans quelques années ? Les présidentielles sont toujours des moments politiques intenses sous la Vᵉ République et certains slogans, affiches ou thèmes de campagne sont presque devenus mythiques. Retour sur ces morceaux d’histoire politique, entre mythes et manœuvres électorales, avec un premier épisode sur la présidentielle de 1981, où François Mitterrand avait promis de « changer la vie », et a finalement surtout changé la communication politique.
Invité d’Extralocal, Geoffroy Roux de Bézieux est revenu sur les annonces d’Emmanuel Macron sur la réforme des retraites. Le chef de l’Etat a précisé ce mercredi que celle-ci était bien repoussée mais a tout de même détaillé les modifications par rapport à la réforme de 2019. Une nouvelle version qui plaît au président du Medef, tant sur le calendrier que sur le fond.
Invité de Parlement Hebdo, Claude Malhuret est revenu sur son ralliement récent à Édouard Philippe et les différences qu’il voyait avec la candidature de Valérie Pécresse. Le président du groupe Les Indépendants « ne comprend pas » le retour de Valérie Pécresse à LR, parti qu’ils avaient quitté en même temps, estimant qu’il s’était trop droitisé.
Invité de la matinale de Public Sénat, Jean-Louis Debré est revenu sur sa « nouvelle carrière » de comédien, et notamment sur son spectacle Ces femmes qui ont réveillé la France. L’ancien président du Conseil constitutionnel et chiraquien historique se dit assez distant de la politique actuelle et préfère se consacrer autrement à la République, sur les planches.
Ce jeudi, députés et sénateurs ont finalisé les derniers détails de la loi sur l’égalité économique et professionnelle en Commission mixte paritaire (CMP). Le texte prévoit notamment d’instaurer des quotas de femmes aux postes de direction d’entreprise.
Le chef de l’Etat était invité sur TF1 et LCI mercredi soir pour faire le bilan de son quinquennat. Il a notamment évoqué la réforme des retraites avortée et a confirmé son souhait de la poursuivre dans un éventuel second quinquennat, mais sous une forme un peu différente de la réforme de l’hiver 2019.
Invité de la matinale de Public Sénat, Julien Denormandie est revenu sur la décision de certaines mairies écologistes de ne pas servir de foie gras dans des réceptions officielles de fin d’année. Le ministre de l’Agriculture a dénoncé une remise en cause des « traditions » qui pose une question « anthropologique. »
Le PDG de la SNCF était auditionné au Sénat ce mercredi matin. Il est revenu sur la grève prévue par les syndicats majoritaires de la SNCF (UNSA, Sud Rail, CGT) pour le 1er week-end des vacances de Noël et espérait que les dernières négociations pourraient faire « lever le préavis ». En vain. Dans l’après-midi, Christophe Fanichet, le PDG de SNCF Voyageurs, a annoncé l’échec des discussions : seulement un TGV Sud-Est sur deux circulera vendredi.
Invité de la matinale de Public Sénat, Aurélien Pradié a fustigé la programmation par l’Elysée d’une interview d’Emmanuel Macron le soir où Valérie Pécresse, fraîchement désignée candidate par son parti, devait aussi faire une émission politique. Le secrétaire général des Républicains, visiblement exaspéré, y voit un « comportement de petit mec » et une certaine fébrilité du chef de l’Etat.
Le budget 2022 revenait ce mardi en discussion au Sénat et, comme prévu, la nouvelle lecture n’a pas duré très longtemps. La majorité sénatoriale a maintenu sa position consistant à ne pas examiner un budget qu’elle considère comme insincère et électoraliste et a voté une question préalable (197 voix contre 79), qui vaut pour rejet du texte avant même son examen.
Invité de la matinale de Public Sénat, Adrien Taquet est revenu sur l’examen de la loi sur la protection des enfants placés à l’Aide sociale à l’enfance (ASE) qui débute ce mardi après-midi au Sénat. Il a notamment annoncé que le gouvernement était prêt à suivre les modifications du Sénat en séance et qu’il déposerait un amendement pour « systématiser un projet d’autonomie » pour les jeunes de 18 à 21 ans sortant de l’ASE.