Le retour des talibans au pouvoir en Afghanistan fait craindre un exode massif de réfugiés afghans, fuyant un régime totalitaire. L’ONU s’attend à un demi-million de réfugiés afghans supplémentaires en 2021. Pour l’eurodéputé espagnol (les Verts), Ernest Urtasun, il est de la responsabilité de l’Union européenne d’accueillir les afghans.
Retards européens sur la vaccination, crise de confiance en Bruxelles, désaccords sur les stratégies sanitaires et les réponses économiques entre les 27 : Peut-on parler de désunion européenne ? Face à une crise sans précédent, c’est l’idée européenne même qui joue son avenir.
Alors que le Parlement français vient d’autoriser les néonicotinoïdes pour la filière betteravière, ce pesticide dangereux pour la biodiversité et les abeilles est interdit en Europe depuis 2018. Certaines dérogations sont possibles, trop nombreuses pour l’eurodéputée verte allemande Anna Cavazzini. Elle demande à la Commission européenne de durcir le ton.
Et si parler d’une seule voix devenait plus simple. Dans son discours de l’état de l’Union mercredi 16 septembre dernier la présidente de la commission européenne Ursula von der Leyen a mis les États membre devant leur responsabilité. Elle les enjoint à passer à la majorité qualifiée sur les sujets de relations internationales et diplomatiques. Pour Nathalie Loiseau, ancienne ministre des affaires européennes et députée européenne LREM, il y a urgence.
Vanessa Sanchez, metteuse en scène, voit la quasi-totalité de ses projets suspendus ou annulés à cause du confinement. Intermittente du spectacle depuis 20 ans, elle espère que l’art et la culture ne seront pas les grands oubliés du plan de relance et des mesures d’aides gouvernementales.
3 semaines que le confinement a démarré et pour l’heure les habitants d’Hérimoncourt respectent à peu près les mesures imposées. Mais voilà, le temps semble long, et puis le soleil apparaît de plus en plus tentant dans cette petite ville du Doubs.
Le quotidien de Bruno Cardot, céréalier dans l’Aisne n’a pas beaucoup changé depuis le début du confinement. Mais il ne faudrait pas que cela dure au-delà de la moisson de juillet ou bien que les chauffeurs routiers fassent jouer massivement leur droit de retrait. En attendant un retour à la normale, l’agriculteur se veut optimiste et espère que de cette crise, il en sortira du positif.