Le 13 septembre, Patrick Martin, président du Medef, a annoncé qu’une « grande mobilisation patronale » serait organisée, si les impôts des entreprises augmentaient dans le cadre du budget 2026. Même s’ils ne sont pas adeptes des manifs et autres chants révolutionnaires, les patrons se mobilisent bien pour défendre leurs intérêts. On fait le point avec Michel Offerlé, professeur émérite de science politique, professeur à l’ENS et spécialiste du patronat.
Invité de la matinale de Public Sénat ce mardi, Roger Karoutchi, sénateur LR des Hauts-de-Seine a pris position contre la reconnaissance de l’Etat de Palestine par la France la semaine prochaine. Il a également débattu avec le maire communiste de Gennevilliers Patrice Leclerc sur l’attitude que doit avoir la France face à l’intensification des attaques israéliennes sur la bande de Gaza.
Dans la nuit de mardi à mercredi, 19 drones russes ont fait irruption dans l’espace aérien polonais. L’État polonais a invoqué l’article 4 de l’Otan, qui stipule que des consultations entre alliés peuvent avoir lieu en cas de menace imminente de l’un de ses membres. Les drones ont été interceptés et neutralisés. Comment comprendre cette attaque, qualifiée de « violation la plus grave de l’espace aérien européen par la Russie depuis le début de la guerre » par la cheffe de la diplomatie européenne Kaja Kallas ? Le général Jérôme Pellistrandi, rédacteur en chef de la revue Défense nationale, répond aux questions de Public Sénat.
Sébastien Lecornu a été nommé à Matignon pour « bâtir les accords indispensables aux décisions des prochains mois ». Pour ce faire, Hervé Marseille, le président du groupe centriste au Sénat, préconise de négocier avec le Parti socialiste.
La chute du gouvernement de François Bayrou hier soir ouvre une nouvelle période de gestion des affaires courantes pour ses ministres. Que permet ce régime, qui n’est pas formellement défini dans la Constitution ?
Depuis le mois de juillet, le Royaume-Uni est le théâtre de mobilisations contre les migrants, accusés de mettre en danger les enfants et les jeunes filles. Ce 5 septembre, le Premier ministre Keir Starmer annonce remanier profondément son gouvernement. Comment comprendre ce phénomène, dans un pays qui a vu arriver à sa tête le parti travailliste il y a plus d’un an ? Eclairages de Florence Faucher, professeure de science politique à Sciences Po, directrice du centre d’études européennes et de politique comparée.
Alors que la chute de François Bayrou le 8 septembre prochain fait peu de doute, la gauche, moins la France Insoumise, s’est retrouvée hier après-midi au siège des Ecologistes pour échanger sur les programmes et sur l’après Bayrou.
Quelques jours avant la probable censure du gouvernement de François Bayrou, qui engage la responsabilité de son gouvernement sur le constat de l’aggravation de la dette publique, les Ecologistes ont présenté ce matin leur « plan de sortie de crise ». Une base de travail qui servira à discuter avec leurs partenaires de gauche pour un éventuel gouvernement de « cohabitation ».
Emmanuel Macron veut « élargir » le socle commun et parler aux socialistes. Un message entendu par le parti à la rose, qui pose ses conditions. Cette hypothèse soulève plus de questions qu’elle n’apporte de réponses.
Alors que Vladimir Poutine rencontre Xi Jinping en Chine après avoir vu Donald Trump en août, les pays qui soutiennent militairement l’Ukraine, réunis sous le nom de « Coalition des volontaires », se rencontrent ce jeudi en présence de Volodymyr Zelensky. L’objectif est de montrer que l’Ukraine est soutenue avant et après un potentiel cessez-le-feu, par des pays qui se rangent « dans le camp de la paix ».
Après l’organisation d’une rave-party dans l’Aude, le ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau s’est dit favorable à une « criminalisation » de l’organisation illégale de ces événements. Tour d’horizon des règles qui encadrent les rave-parties en France.
Lors de son interview par les quatre chaînes d’informations dimanche soir, François Bayrou a balayé la taxe Zucman, qui propose de taxer à 2 % les patrimoines au-delà de 100 millions d’euros, au motif qu’elle serait inconstitutionnelle. Qu’en est-il vraiment ?