Alors que la guerre en Ukraine fait rage, le groupe français Lactalis, qui compte trois sites de productions sur place, s’inquiète pour la sécurité de ses 1 000 salariés ukrainiens. Présent au salon de l’Agriculture, le directeur de la communication du groupe, Christophe Piednoël a pour le moment des nouvelles rassurantes. Interview.
Cette semaine, dans Livres & vous sur Public Sénat, Guillaume Erner et ses invités s’intéressent au génie, au génie sous deux formes : celle des mathématiques avec David Bessis, auteur de « Mathematica – une aventure au cœur de nous-même » (Ed. du Seuil) et celui plus littéraire et philosophique de Pascal avec une spécialiste du grand homme, scientifique elle aussi, Laurence Plazenet, auteure d’un article dans l’ouvrage collectif « La fabrique du chef-d’œuvre » (Ed. Perrin).
Lors de sa visite écourtée du Salon de l’agriculture, le président de la République a annoncé la mise en place prochaine « d’un plan de résilience » pour accompagner les agriculteurs français qui vont être impactés par la guerre en Ukraine. « Cette guerre durera. Il aura des conséquences durables », a-t-il prédit.
La mort de Mélodie Cauffet, tuée par une chasseuse dans l’Aveyron le 19 février, a placé la chasse au cœur du débat présidentiel. Comment partager la nature entre chasseurs et promeneurs en toute sécurité ? « Un chasseur sachant chasser » plonge dans la complexité de ce débat passionnel à travers les yeux du sénateur écologiste Daniel Salmon. Un documentaire à voir ce samedi 26 février à 18h30 sur Public Sénat.
Cette semaine, Steve Jourdin et ses invités Mathilde Siraud, Jonathan Bouchet-Petersen, Claude Weil et Nicolas Baverez vous proposent leur regard sur une campagne chamboulée par la guerre en Ukraine. Dans ce contexte géopolitique troublé, le président Macron peut-il enfin annoncer sa candidature ? Et alors que le conflit a pris de court de nombreux commentateurs, comment la violence des événements met-elle à mal des positions pro-russes tenues hier par certains candidats ?
« Et Maintenant 2022 ! » décrypte pas à pas la campagne pour l’élection présidentielle… Au programme de notre carnet cette semaine : Un focus particulier autour de la situation en Ukraine et ses répercussions sur la campagne présidentielle.
Le texte adopté par les sénateurs prévoit de permettre la double procuration pour l’élection présidentielle. Une mesure destinée à faciliter l’exercice du vote sous covid-19. La proposition de loi ne pourra cependant pas être adoptée par les députés avant le scrutin.
Moment fort au Sénat ce vendredi, l’opposante Svetlana Tikhanovskaïa qui vient d’annoncer prendre la présidence d’un gouvernement biélorusse en exil, a rappelé que la guerre en Ukraine était « un test majeur pour l’Europe ». « Nous devons réaliser qu’on ne peut pas rééduquer les dictateurs », a-t-elle expliqué.
Réunis dans le cadre de la conférence interparlementaire sur la politique étrangère et de sécurité commune (PESC), les représentants des commissions des affaires étrangères des parlements nationaux de l’Union européenne ont adopté une déclaration commune condamnant l’offensive militaire en cours et expriment leur solidarité à l’égard du gouvernement et du peuple ukrainien.
« Le temps de la désescalade doit venir », a affirmé l’ancien Président après un entretien avec Emmanuel Macron sur l’Ukraine. « La guerre totale, aucun peuple à travers le monde ne peut la souhaiter. C’est la raison pour laquelle j’ai approuvé la démarche du Président Macron quand il est allé à Moscou », explique Nicolas Sarkozy.
Emmanuel Macron recevait, ce vendredi, successivement ses prédécesseurs François Hollande et Nicolas Sarkozy. A la sortie, l’ancien président socialiste, a appelé à durcir les sanctions contre la Russie et appelle les Etats membres de l’UE à faire «un effort beaucoup plus important pour leur défense ».
Au micro de Public Sénat, Roger Karoutchi a estimé que les Occidentaux n’ont pas assez misé sur le rapport de force contre Moscou ces dernières années, préférant tisser des liens économiques avec les Russes. Selon le vice-président du Sénat, l’obsession des démocraties à maintenir la paix et la stabilité les place nécessairement dans une position de faiblesse vis-à-vis des grands régimes autoritaires.