« Ce débat permet aux Français de s’impliquer et de prendre conscience davantage des enjeux », estime la tête de liste de la majorité présidentielle aux européennes, au lendemain du débat qui a opposé le premier ministre à la tête de liste RN. Si elle reconnaît avoir « peut-être moins de talent, entre guillemets, que lui, sur les plateaux télés », Valérie Hayer affirme que Jordan Bardella n’a « jamais bossé au Parlement européen, il ne sait même pas ce qu’est un amendement ».
Alors qu’Emmanuel Macron va arriver en Nouvelle-Calédonie, la situation « reste tendue et fragile » sur place, selon le premier ministre. « Nous mettons toutes nos forces pour créer les conditions du dialogue et d’un accord politique global », affirme Gabriel Attal, qui assure que le gouvernement sera « aux côtés de la Nouvelle-Calédonie pour la reconstruction ».
Le président du Sénat est revenu, ce mercredi 22 mai en ouverture de séance, sur la carrière politique fleuve de Jean-Claude Gaudin, mort à 84 ans le 20 mai, et qui a siégé comme sénateur pendant plus de deux décennies.
Invité de la matinale de Public Sénat, la tête de liste PS/Place Publique accuse les eurodéputés Renaissance de « travailler avec des partis qui font des alliances avec l’extrême droite ». Il regrette par ailleurs l’organisation par France 2 d’un débat entre Gabriel Attal et Jordan Bardella. « Le service public, c’est le service du public. Ce n’est pas le service du gouvernement », dénonce le candidat.
Dans l’hémicycle du Sénat, le Premier ministre Gabriel Attal a rendu hommage aux personnels pénitentiaires, après la mort de deux agents dans l’attaque d’un fourgon mardi. « Notre détermination pour retrouver les auteurs, pour les juger, pour les sanctionner le plus lourdement possible, est totale », a-t-il assuré.
Le journaliste littéraire Bernard Pivot est mort lundi à 89 ans, annonce sa famille. Il a présenté pendant quinze ans l’émission littéraire la plus célèbre du PAF, « Apostrophes », faisant défiler sur son plateau quelques-uns de plus grands noms de la littérature contemporaine.
Au lendemain du premier débat entre l’ensemble des têtes de liste pour les élections européennes, la LFI Manon Aubry brocarde le manque d’assiduité de Jordan Bardella (RN), au Parlement européen.
Après saisine des LR, l’Arcom, instance régulatrice de l'audiovisuel, a estimé que le discours prononcé par Emmanuel Macron le 25 avril à la Sorbonne devait être décompté du temps de parole de la majorité pour les élections européennes.
Avec 67% d’opinions négatives dans le dernier baromètre politique d’Odoxa, le président de la République ne parvient pas à se relancer auprès des Français, malgré son grand discours de la Sorbonne sur l’Europe. Resté à distance de la campagne électorale, son Premier ministre Gabriel Attal voit sa cote de popularité monter à 44%.
La tête de liste de la majorité présidentielle s’enfonce dans les intentions de vote pour le scrutin du 9 juin prochain, très largement devancée par le candidat RN Jordan Bardella qui continue d’engranger des points. Surtout, elle est désormais talonnée par Raphaël Glucksmann, le candidat PS-Place publique, qui poursuit sa remontada.
Invitée ce vendredi 26 septembre de Public Sénat, la tête de liste LFI pour les élections européennes a assumé de mener une campagne largement centrée sur le conflit israélo-palestinien. « Toutes celles et tous ceux qui sont attachés aux droits humains devraient être dans la rue à nos côtés », assure-t-elle.
Le président de la République a dévoilé ce jeudi 25 avril sa vision d’une « Europe puissance », à un peu plus d’un mois des élections européennes. Durant 1h45, Emmanuel Macron a égréné les grands défis du continent.