Mediapart révèle que le ministre de l’Education nationale se trouvait à Ibiza lorsqu’il a annoncé le protocole sanitaire de la rentrée, largement critiqué pour sa complexité. Face aux appels à la démission, François Patriat, le patron des sénateurs LREM (RDPI), dénonce sur notre antenne une « instrumentalisation » par les oppositions de gauche.
La présidente du conseil politique du candidat écologiste Yannick Jadot a réagi à la condamnation d’Éric Zemmour pour « provocation à la haine », ce 17 janvier 2022.
La candidature de Christiane Taubira à la présidentielle vient jeter le trouble dans une gauche qui n’en avait pas besoin. Les soutiens d’Anne Hidalgo, qui cherchent à délégitimer la primaire populaire, comme ceux de Yannick Jadot, voient d’un mauvais œil la nouvelle, quand ceux de Jean-Luc Mélenchon raillent « les affaires des héritiers de Hollande ».
La commission d’enquête du Sénat sur la concentration des médias a auditionné Patrick Eveno, ancien président du Conseil de déontologie journalistique et de médiation (CDJM) et ancien membre du comité d’éthique de Canal plus.
467 000 électeurs se sont inscrits à la Primaire Populaire, selon les organisateurs. Ils pourront départager en ligne les sept candidats sélectionnés au cours d’un scrutin au jugement majoritaire fin janvier. Ils évalueront chaque candidat en lice en attribuant des mentions, un moyen selon les organisateurs pour l’électorat « de s’exprimer pleinement. »
Après le refus d’Emmanuel Macron de voir le parti de Franck Riester, Agir, fusionner avec celui d’Édouard Philippe, Horizons, l’ancien Premier ministre montre des signes d’agacements. Au Sénat, certains comprennent la crainte du chef de l’Etat de voir son ancien Premier ministre prendre trop de place dans la future majorité, si Emmanuel Macron était réélu.
Réagissant aux propos d’Éric Zemmour sur la scolarisation des enfants porteurs d’un handicap, le président de la région Grand Est, Jean Rottner, reproche au polémiste de « ne pas avoir de cœur », et défend un système d’inclusion.
Les sénateurs ont adopté en nouvelle lecture, ce 15 janvier, le projet de loi renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire. Ils n’ont pas souhaité céder sur deux points essentiels à leurs yeux : l’impossibilité de vérifier l’identité en parallèle du contrôle d’un passe vaccinal, et la suppression du nouveau régime d’amendes administratives visant les entreprises réfractaires au télétravail.
Le président du groupe LR Bruno Retailleau s’est exprimé ce 15 janvier 2022, sur Public Sénat, sur son tweet qui a provoqué l’arrêt de la commission mixte paritaire sur le passe vaccinal deux jours auparavant. Il accuse la majorité présidentielle d’avoir réagi de façon « totalement disproportionnée ».
Le projet de loi renforçant les outils de gestion de la crise sanitaire est débattu une nouvelle fois Sénat ce 15 janvier, deux jours après l’échec de la commission mixte paritaire. Les sénateurs ont rétabli en commission certains points auxquels ils tenaient particulièrement, ce qui aboutira à une adoption « non conforme » et donc une nouvelle séance à l’Assemblée nationale.