Il y a eu l’attaque du Capitole à Washington par des partisans de Trump le 6 janvier dernier. Jeudi, des opposants au passe sanitaire ont pris d’assaut l’hémicycle du conseil régional de Guadeloupe, à Basse-Terre. Ils ont passé la nuit dans les locaux de l’institution demandant à négocier avec l’Etat et ont quitté les lieux aujourd’hui aux environs de midi.
La France a ouvert, jeudi, l’accès à ses archives relatives aux affaires judiciaires et aux enquêtes de police pendant la guerre d’indépendance de l’Algérie. Une avancée pour le sénateur communiste, Pierre Ouzoulias, qui s’inquiète toutefois de l’effectivité de cet arrêté. Le bâtiment qui contient une grande partie de ces archives reste inaccessible depuis deux ans pour cause de présence d’amiante.
Entre anecdotes, coups tordus, propositions loufoques ou répliques culte, à l’approche de la présidentielle, Public Sénat vous propose une plongée dans les coulisses de la course à l’Elysée sous la Vᵉ République. Dans ce dernier épisode, retour sur les candidats inattendus des présidentielles qui, contre toute attente, ont réussi à glaner les 500 parrainages et à se positionner pour le premier tour.
Le projet de loi transformant le passe sanitaire en un passe vaccinal sera examiné au pas de charge au Parlement, pour une adoption début janvier. D’ores et déjà, le vice-président centriste de la commission des Lois s’interroge sur un certain nombre de points dont l’élargissement du contrôle du passe. La présentation de documents d’identité pourrait, en effet, « être exigée en cas de doute » à l’entrée des établissements soumis au passe vaccinal.
Avec près de 16 000 personnes hospitalisées et plus de 3 000 en réanimation, « nous battons les records en termes de taux d’incidence », a annoncé le gouvernement. Cette situation sanitaire critique peut-elle faire reporter l’élection présidentielle prévue pour les 10 et 24 avril 2022 ?
Alors que les cas de covid-19 repartent à la hausse en cette fin d’année, avec plus de 3 000 personnes en réanimation et la vague Omicron qui touche davantage les jeunes, l’inquiétude gagne du terrain quant à la rentrée de janvier.
Le ministre de la Santé a annoncé, mercredi 22 décembre, l’ouverture de la vaccination pour cette classe d’âge sur BFMTV. Hier, la Haute autorité de santé (HAS) a donné son feu vert tout en excluant de la rendre « obligatoire ». Cette annonce arrive alors que la dégradation de la situation sanitaire s’accélère avec l’arrivée fulgurante du variant Omicron.
Le Premier ministre recevait, ce mardi, les présidents des groupes parlementaires pour discuter les contours de ce texte dont l’examen a été accéléré à cause de la dégradation de la situation sanitaire. Le gouvernement renonce à inscrire dans le projet de loi sur le passe vaccinal l’élargissement de celui-ci à l’ensemble des entreprises. Les parlementaires pourront néanmoins déposer des amendements pour introduire cet élargissement durant l’examen du texte.
Changer de nom de famille au moins une fois dans sa vie. Permettre aux mères d’ajouter leur nom à celui de leur enfant. Tels sont les grands principes de la proposition de loi, initiée par le député LREM Patrick Vignal, qui sera débattue au Parlement en janvier.
L’examen du projet de loi instaurant la transformation du passe sanitaire en un passe vaccinal sera présenté en Conseil des ministres extraordinaire dès le lundi 27 décembre, a annoncé le porte-parole du gouvernement. Dans le même temps, le Premier ministre rencontre, ce mardi, les présidents des groupes parlementaires et les associations d’élus locaux pour discuter des futurs champs d’application du passe sanitaire.
Le Premier ministre reçoit, mardi 21 décembre, les présidents des groupes parlementaires pour discuter des futurs champs d’application du passe sanitaire. Au Sénat, les critiques fusent d’ores et déjà et les inquiétudes montent sur la constitutionnalité d’un passe qui pourrait être étendu à l’ensemble des entreprises.
« Une forme déguisée d’obligation vaccinale. » La déclaration d’Olivier Véran au sujet du passe vaccinal fait réagir les sénateurs. La droite s’indigne tandis qu’à gauche le Parti socialiste, qui plaide pour l’obligation vaccinale, s’agace que « le gouvernement n’aille pas au bout de la logique ».