Le 10 et 11 mars, Marine Le Pen marque son retour en politique lors du Congrès du Front National à Lille. L’occasion pour elle de prendre un nouveau départ avec un nouveau nom, « Rassemblement National » et d’y dévoiler sa stratégie pour les prochaines élections.Mais au même moment, tandis que le père, Jean-Marie Le Pen, dévoile le premier tome de ses mémoires, la nièce, Marion Maréchal Le Pen s'est faite remarquée lors d’un discours donné devant les conservateurs Républicains à Washington.Mais alors où en sont relations tumultueuses de ce trio familial ? Comment exister quand on s’appelle Le Pen ?
Dans Parlement Hebdo, le sénateur socialiste de Paris a étrillé la réforme constitutionnelle proposée par l’exécutif. Il demande « d’arrêter d’aller dans le sens du populisme ».
Pour ce nouveau numéro de Livres&Vous, Adèle Van Reeth vous propose une discussion entre deux personnalités autour de la tyrannie.Le romancier Tahar Ben Jelloun, prix Goncourt en 1987 pour « La Nuit sacrée ». Il fait paraître récemment chez Gallimard « La punition », dans lequel il raconte son enfermement dans un camp militaire sous le règne d’Hassan II, alors qu’il avait 20 ans. Il dialogue avec Richard Malka, avocat et auteur de bandes dessinées et ensemble ils s’interrogent : Écrire permet-il de rester libre ?
Dans Parlement Hebdo, le sénateur socialiste de Paris, soutien d’Olivier Faure, se dit « satisfait à plusieurs niveaux » après le vote des militants du parti qui s’est tenu jeudi soir.
Alors que Gérard Larcher a fait du non-cumul dans le temps un point de blocage avec l’exécutif dans la réforme des institutions, voulue par Emmanuel Macron, certains sénateurs LR n’en font plus aujourd’hui une ligne rouge. Ils préfèrent se concentrer sur la représentation des territoires.
Il y a 50 ans jour pour jour, la faculté de Nanterre était occupée par des étudiants en guise de protestation à l’arrestation de manifestants contre la guerre du Vietnam. Un mouvement qui déboucha sur Mai 68. La semaine dernière, le réalisateur et ancien leader du mouvement lycéen, Romain Goupil revenait sur ce qu’il nomme « une révolte culturelle d’importance ».
La sénatrice de Paris se réjouit du bon déroulé de l’élection du Premier secrétaire du PS. Néanmoins, elle prévient Olivier Faure : il va falloir rassembler. Arrivé deuxième, Stéphane Le Foll a jeté l’éponge ce vendredi.