En début d’année, le gouvernement a annoncé l’abaissement à 80 km/h de la limitation de vitesse sur les routes secondaires. Une mesure qui a mis en colère les associations d’automobilistes, déjà bien remontées.
En visite au salon de l’agriculture, la maire de Paris a livré un plaidoyer pour l’agriculture urbaine. Loin d’être une mode de bobos parisiens, ce dispositif pourrait atténuer la séparation des territoires, selon elle.
Le fondateur du mouvement Génération.s s’en est pris au « lobby de l’agrobusiness » et au « lobby de la grande distribution », dont la logique s’oppose, selon lui, à une alimentation de qualité. « Ils prélèvent l’essentiel de la marge et de la valeur », affirme-t-il.
Le constructeur automobile américain ne réinvestira pas dans le site de Blanquefort en Gironde. Alors que près d’un millier d’emplois sont en jeu, Bruno Le Maire a annoncé que l’activité du site serait maintenue jusqu’en 2019. Le temps de trouver une solution pour maintenir les emplois sur ce site, affirme le ministre de l’Économie.
La croissance a atteint la barre symbolique des 2 %. Une embellie économique que le ministre de l’Économie et des finances rechigne à mettre au crédit de François Hollande. Selon lui, les Français sont les seuls à pouvoir se féliciter. Pour autant, pas question d’ouvrir « tout grand les poches de l’État », il prévient que les effets positifs de cette embellie tarderont à se faire sentir.
Alors que le président des Républicains accuse Emmanuel Macron de mépriser et d’ignorer le monde agricole, son ministre de l’Économie monte au créneau pour le défendre et répond « bullshit » à l’intéressé. Un anglicisme qui fait écho aux propos polémiques du président des Républicains à l’EM de Lyon.
Le ministre de l’Économie a réagi sur Public Sénat aux perquisitions menées ces deux derniers jours par la DGCCRF au siège des centres Leclerc, dans le cadre des négociations commerciales annuelles entre industriels et distributeurs. « Nous avons des éléments qui prouvent, selon nous, que ces règles ne sont pas respectées », affirme Bruno Le Maire, ajoutant que « c’est la justice qui tranchera ».