Médecin et aventurier, depuis plus de 40 ans, il explore le monde et nous fait découvrir des contrées reculées et méconnues lors d’expéditions à couper le souffle. Invité de l’émission « Un monde, un regard » sur Public Sénat, Jean-Louis Etienne nous alerte, au micro de Rebecca Fitoussi, sur le réchauffement climatique à l’œuvre. Aujourd’hui le scientifique affirme qu’il ne pourrait plus refaire telle quelle, l’expédition qu’il avait menée en 1989.
Si la fin des moteurs thermiques est prévue en 2035 en Europe, d’ici là, une nouvelle norme doit entrer en vigueur et durcir les seuils d’émissions de polluants des véhicules neufs. La norme Euro 7, en cours d’écriture, divise les pays et les parlementaires. A Bruxelles, les lobbys pro automobiles et les défenseurs du climat tentent de peser dans la balance.
Raconter la traite négrière en partant de souvenirs d’enfance. Cette semaine sur le plateau de Livres & vous c’est un romancier, Timothée de Fombelle, qui a passé une partie de son enfance en Côte d’Ivoire, qui livre sa vision de l’esclavage dans une trilogie poétique intitulée « Alma » publiée aux Editions Gallimard Jeunesse.Il est aux côtés de l’historien Paulin Ismard qui présente l’ouvrage « Les mondes de l’esclavage » (Ed. du Seuil) pour répondre à cette question de Guillaume Erner : comment mêler le romanesque et l’histoire académique quand on parle d’un sujet aussi bouleversant de l’Histoire du monde moderne ?
C’est le sésame pour être candidat. Il faut rassembler 500 parrainages d’élus répartis sur au moins 30 départements. Si les maires constituent l’essentiel des signatures, parlementaires, conseillers départementaux ou régionaux peuvent aussi apporter leur soutien. Le Conseil constitutionnel contrôle la procédure.
Jean-François Rapin, président de la commission des affaires européennes du Sénat, soutient les sanctions prises par Paris dans le cadre du conflit avec la Grande-Bretagne sur les droits de pêche. Mais il demande qu’elles soient « bien calibrées ». Le sénateur se dit « très inquiet » des conséquences des sanctions pour les mareyeurs français.
Issue des travaux d’une mission sénatoriale sur l’empreinte environnementale du numérique, la proposition de loi « REEN » revient au Palais du Luxembourg après avoir subi plusieurs modifications en première lecture à l’Assemblée nationale. Malgré ses réserves, la commission du développement durable a choisi d’adopter le texte en l’état, pour lui éviter d’être rendu caduc avec la fin de la législature.
Face à la « dérive » d’un recours accru à des cabinets de conseil privés, notamment dans la gestion de la crise du covid-19, le groupe CRCE du Sénat lance une commission d’enquête « sur l’influence croissante des cabinets de conseil privés sur les politiques publiques ».
Alors qu’une enquête fait état de la fermeture de 5 700 lits dans les hôpitaux publics, faute de personnel, un amendement du groupe communiste du Sénat, au projet de loi « vigilance sanitaire », demande au gouvernement un rapport sur ce sujet brûlant. Retour sur ce temps fort de la séance.
Le Sénat a adopté jeudi soir sa propre version du projet de loi « vigilance sanitaire ». Territorialisation et prolongation du passe sanitaire jusqu’au 28 février, suppression du passe sanitaire pour les mineurs lors d’activités sportives, ou encore suppression de l’accès au statut vaccinal et virologique des élèves par les chefs d’établissement scolaire… Quels sont les apports du Sénat ?
C’était attendu, le Sénat a adopté une version profondément modifiée du projet de loi « vigilance sanitaire ». La Haute assemblée a territorialisé le recours au passe sanitaire et a limité au 28 février la possibilité de sa prolongation, contre le 31 juillet prévu par le gouvernement. Les sénateurs ont également supprimé la disposition permettant aux chefs d’établissement scolaire d’avoir accès au statut vaccinal des élèves.
Lors de l’examen du projet de loi « vigilance sanitaire », le Sénat a adopté un amendement porté par le sénateur LR Michel Savin, visant à supprimer le passe sanitaire pour les moins de 18 ans lorsqu’ils pratiquent une activité sportive.
Lors de l’examen du projet de loi « vigilance sanitaire », le Sénat a ramené la possibilité de recourir au passe sanitaire au 28 février contre le 31 juillet dans la version initiale. Mais surtout, l’article 1 tel qu’adopté ce jeudi, permettrait à l’ensemble des départements de Métropole de ne plus avoir recours au passe sanitaire à la mi-novembre.