Le nombre de chômeurs a connu en septembre sa plus forte baisse depuis début 2001 (-64.800, -1,8%), effaçant les deux hausses consécutives enregistrées en juillet et août pour s'établir à 3,48 millions de personnes en métropole, a annoncé mardi le ministère du Travail.
Interrogé au micro de « Sénat 360 », Stéphane Sirot, historien spécialiste de l’histoire des grèves et du syndicalisme, estime qu’il n’y aura pas « d’unité » des syndicats après leur réunion au siège de la CFDT, ce mardi 24 octobre.
Une taxe sur les dividendes censurée par le Conseil Constitutionnel va coûter 10 milliards d’euros à l’État. À droite, à gauche, au gouvernement… personne ne veut en endosser la responsabilité. Tandis qu’au Sénat, on peine à y comprendre quelque chose.
Alors que le Parlement européen vient de voter une résolution en faveur d’une disparition progressive du glyphosate, le ministre de la Transition écologique se réjouit que « le sujet soit maintenant dans l’écran radar de nos sociétés » au micro de Public Sénat.
Le Premier ministre est resté près d'une heure ce mardi matin devant les sénateurs de l'Union centriste, à un mois de l'examen du budget 2018. Dans une tentative de séduction, Édouard Philippe a parlé « du groupe le plus bienveillant de l'opposition et le plus critique de la majorité ». Il a largement été applaudi à sa sortie.
Le projet de loi de finances 2018 arrive prochainement au Sénat, où la droite forme la majorité de l’hémicycle. Certains sénateurs LR considèrent que le budget ne va pas assez loin sur la maîtrise de la dépense publique. D’autres se posent en défenseur des retraités ou des propriétaires.
Le Sénat présente une proposition de loi visant à augmenter les moyens de la justice de 5% par an jusqu’en 2022. « La justice va très mal » met en garde son auteur, le président LR de la commission des lois, Philippe Bas, qui défend « une vraie union sacrée au-delà de tous les clivages politiques ».
Un an après l’évacuation de la Lande de Calais, un rapport commandé par le ministère de l'Intérieur montre que les accusations de « manquements à la doctrine d’emploi de la force et à la déontologie policière » sont « plausibles. »