Le président du groupe LR du Sénat, Bruno Retailleau est revenu sur la démission du général de Villiers. « La lutte contre les déficits ne peut se faire au détriment de la lutte contre le terrorisme » a-t-il martelé.
L'examen par le Sénat du projet de loi d'habilitation débute ce lundi, à 16h. Mercredi dernier, la commission des affaires sociales du Sénat a voté 31 amendements, qui vont dans le sens d’un renforcement de l’esprit libéral du texte. Communistes et socialistes y sont hostiles.
Un monde en docs vous a éclairé tout au long de la saison sur la situation de pays proches ou lointains. À travers une sélection d’émissions, la rédaction de Public Sénat vous propose de prendre le temps d’approfondir votre culture du globe et des relations internationales : de la Roumanie à l’Irak en passant par l’Ukraine, zoom sur des situations géopolitiques complexes.
Cette année, une femme s’est hissée au second tour de l’élection présidentielle, deuxième candidate dans l'histoire de la Vème République à parvenir aux marches de la fonction suprême, après Ségolène Royal en 2007. À travers une sélection d’émissions, Public Sénat revient donc sur la place des femmes dans la société, leur importance et leur influence au sein de la politique et de l’entreprise.
Le président de la commission des affaires étrangères du Sénat a salué « un homme d’une très grande valeur » et déploré que les propos du général aient été rapportés malgré le huis-clos à l’Assemblée.
La République en Marche devrait dévoiler les noms de ses candidats aux élections sénatoriales avant la fin de la semaine. Mais pour cette élection au suffrage universel indirect, trouver des candidats s’avère plus délicat qu’aux législatives.
Invités de l’émission « On va plus loin », l’économiste Henri Sterdyniak et Alexandre Malafaye, le fondateur du think tank Synopia, débattent autour de la loi travail.
La sénatrice Dominique Gillot et le député Claude de Ganay ont présenté leur rapport sur les conséquences des algorithmes et des robots, notamment sur l’emploi.
Interrogé à l’Assemblée sur la « crise de confiance » ouverte par la démission du général de Villiers, le Premier ministre a répondu que le chef d’État-major avait « tiré les conséquences du désaccord qu’il avait lui-même exprimé ».