Le sénateur Les Républicains de Paris estime n’exclut pas l’arrivée de « deux groupes émanant de la droite » au Sénat, en fonction de la ligne politique adoptée.
Spécialiste des collectivités locales, la sénatrice Modem Jacqueline Gourault se retrouve ministre après le départ de François Bayrou, dont elle est proche et a la confiance. Au Sénat, cette femme joviale et « pas du tout » sectaire est saluée pour son « sens du dialogue ».
Alors que la folle campagne présidentielle a récemment pris fin, un goût d’inattendu subsiste. Il y a un an, nombreux étaient ceux qui prêtaient à Emmanuel Macron de grandes ambitions. Mais peu auraient alors parié sur la victoire de l’actuel locataire de l’Élysée. De meetings en débats, Emmanuel Macron a imposé la figure de l’homme présidentiel et du renouveau politique. Comment s’explique alors le coup de force de ce petit prince devenu mutant ? Véritable dynamiteur du gouvernement ou apparatchik du système ? Retour sur cette ascension fulgurante avec deux invités renommés dans Un Monde en docs.
On le sait déjà depuis quelques jours, le parti radical de Gauche, présidé par Sylvia Pinel, et le parti radical valoisien, de centre droit, présidé par Laurent Hénart, engagent des discussions pour se réunir. Leur scission date de 1972, il y a donc 45 ans. Les raisons de ce remariage, c’est la victoire d’Emmanuel Macron, synonyme pour le centre de recomposition.Et cela va avoir évidemment des répercussions sur le Sénat.
Thierry Solère veut en finir avec le régime de l’immunité parlementaire. Une mesure à laquelle ne s’opposerait pas le gouvernement. Comment fonctionne-t-elle ?
Ce jeudi, Emmanuel Macron participe à son premier Conseil européen. Un rendez-vous important pour cet Européen convaincu, qui plaide pour « une intégration plus forte ». Pour mener à bien ce projet, il espère rétablir une « alliance de confiance » avec Angela Merkel. Dans une interview donnée la veille au Figaro et à sept autres journaux européens*, le Président a exposé sa vision pour l’Europe.
Invité de l’émission « On va plus loin » l’économiste Jean-Hervé Lorenzi, coauteur du livre « L’avenir de notre liberté » s’inquiète de « la dictature de la technologie » et en particulier de la place envahissante des GAFA.
Le ministre de l’Intérieur, Gérard Collomb entend concilier sécurité et protection des libertés individuelles dans la future loi antiterroriste. Toutefois, le texte qui transpose certaines mesures de l’état d’urgence dans le droit commun, n’introduit, qu’à la marge, le contrôle du juge judiciaire.
Le porte-parole du gouvernement Christophe Castaner a indiqué que le nouveau gouvernement formé avait vocation à s’inscrire dans le temps. Il précise également que la nouvelle équipe ne s'opposera pas à une éventuelle suppression de l'immunité parlementaire.