Après les premiers pas d’Emmanuel Macron sur la scène internationale, du sommet de l’OTAN, au G7, à la rencontre avec Vladimir Poutine à Versailles, comment le président de la République française compte-il faire de l’Union européenne une « Europe forte » ? Comment réformer, refonder l’espace européen à l’heure où les Britanniques le quittent, et où les États-Unis de Donald Trump sont plus que jamais un partenaire imprévisible ? Brexit, climat, relations avec la Russie, ou les États – Unis, réforme de la zone euro, migrations… Marielle de Sarnez, nouvelle Ministre des affaires européennes, répond aux questions de Nora Hamadi.
François Bayrou demande à l’Assemblée et au Sénat de déterminer, via le « déontologue » et le « comité de déontologie », la manière de gérer les frais de mandat, qui devront être à l’avenir justifiés par des notes de frais. Assemblée et Sénat n’ont pas le même système de contrôle des questions d’éthique.
La désignation de Gérard Feldzer, proche de Nicolas Hulot, parmi les médiateurs chargés de trouver une solution au blocage du projet de Notre-Dame-des-Landes suscite l’indignation des pro aéroport.
A peine un mois après son élection à la présidentielle, Emmanuel Macron s’emploie déjà à instaurer l’une de ses promesses de campagne, la mise en place d’une loi de la moralisation de la vie politique, présentée le 1er juin par François Bayrou. Les cent premiers jours du quinquennat sont en effet décisifs pour le nouveau président, comme ils l’ont été pour ses prédécesseurs. Retour sur les mesures prises par les présidents de la Ve République en début de mandat.
Le sénateur de droite Jean-Baptiste Lemoyne s’est moqué de la stratégie fluctuante de son ancien parti, Les Républicains, dans la campagne des législatives. Et anticipe une large majorité pour La République en Marche.
Nicolas Bay, secrétaire général du Front national, était ce matin l’invité de Territoires d’Infos, sur Public Sénat et Sud Radio. Il reconnaît des « avancées indéniables » dans le projet de loi pour « la confiance dans notre vie démocratique » présenté hier par François Bayrou, mais pointe des « manques importants » et doute encore de son adoption prochaine. Quant à Richard Ferrand, il considère que les faits dont il est accusé « sont très graves ».