Air France, fleuron national du secteur aérien, connaît depuis plusieurs années des difficultés face d'un côté à la concurrence du low cost, et de l'autre à celle des luxueuses compagnies du Golfe. Obligé de s'adapter à ces bouleversements du secteur aérien, elle connait aussi un climat social interne tendu. Dans ce contexte, la compagnie française tente de composer avec son principal actionnaire qu’est l’Etat et qui pourtant ne détient plus que 17.06% du capital. La tutelle étatique est-elle une alliée stratégique ou un frein à toute émancipation ? Retour sur le bien fondé de la présence de l’État dans la compagnie.
Après l’élection d’Emmanuel Macron, les dirigeants du vieux continent se sont pour la plupart félicités de l’élection du candidat pro-européen, approuvant ses propositions de réformes. À Bruxelles, au sein du Parlement européen, Public Sénat a rassemblé le Belge Claude Rolin, l’Espagnol Ernest Urtasun et l’Allemande Evelyne Gebhardt pour l’émission Europe Hebdo. Les réactions des eurodéputés sont également positives, même si certains mettent en garde Emmanuel Macron face aux conséquences de réformes trop libérales.
François Bayrou, président du MoDem allié à Emmanuel Macron, a indiqué jeudi à l’AFP que la liste de candidats présentée par En Marche! n’avait pas « l’assentiment » de son parti. « La liste des investitures publiées cet après-midi est celle du mouvement politique En Marche!, elle n’est en aucun cas celle à laquelle le MoDem a donné […]
Le futur gouvernement pourrait vouloir reporter d’un an les sénatoriales pour appliquer au plus vite la baisse du nombre de parlementaires. Mais selon certains professeurs de droit, il y a un risque que le Conseil constitutionnel s’y oppose car il est difficile de changer les règles à deux mois d’une élection.