Le Conseil scientifique renvoie la responsabilité de décider du maintien ou non des élections régionales en juin au pouvoir politique. Mais il souligne cependant une série de « risques ». Par ailleurs, il pointe indirectement l’insuffisance des mesures prises par Emmanuel Macron, « dont l’effet reste incertain ».
Députés et sénateurs sont parvenus à un accord en commission mixte paritaire sur le texte sur la sécurité globale, que ce soit sur l’article 24 ou sur les drones. « On a trouvé le bon équilibre entre protection des policiers et protection des libertés », se réjouit le sénateur LR Marc-Philippe Daubresse, corapporteur au Sénat.
Selon beaucoup d’élus locaux, la situation n’est plus tenable pour les établissements scolaires de Seine-Saint-Denis, confrontés à un taux d’incidence entre « 1000 et 1300 ». « La situation dérape », alertent les sénateurs du département.
Alors que les laboratoires Servier viennent d’être reconnus coupables de « tromperie aggravée » et condamnés à 2,7 millions d’euros d’amende, cette décision de justice n’aurait peut-être pas été la même sans les lanceurs d’alerte. Dix ans après les révélations de la pneumologue Irène Frachon sur la dangerosité du médicament, le statut et la protection par la loi des lanceurs d’alerte ont largement évolué. Dans le bon sens ? Décryptage.
Dix ans après la révélation du scandale du Mediator, un médicament soupçonné d’avoir causé la mort de plus de 2000 personnes, le tribunal correctionnel de Paris a reconnu coupable les laboratoires Servier de « tromperie aggravée » et d’« homicides et blessures involontaires ». L’agence nationale de sécurité du médicament a quant à elle été condamnée pour homicides et blessures involontaires par négligence.
Les savoir-faire et pratiques autour de la baguette vont être présentés par la France auprès de l’Unesco, pour qu’ils soient inscrits au patrimoine culturel immatériel de l’humanité. La sénatrice LR de Paris, qui préside le comité de soutien parlementaire pour ce classement, se réjouit de cette annonce.
Invitée de la matinale de Public Sénat « Bonjour chez vous », la députée LREM des Yvelines a défendu les arbitrages de l’exécutif pour tenter de « freiner » la propagation du covid-19.
Après son adoption à l’Assemblée nationale, le Sénat va examiner à partir du 30 mars et durant une dizaine de jours, le projet de loi confortant les principes républicains, dit « séparatisme ». Un texte qui couvre de nombreux domaines. Une réponse voulue par Emmanuel Macron à l’islamisme radical et aux questions de laïcité. Pour la majorité de droite et du centre du Sénat, le texte ne va pas assez loin.
Invitée de la matinale de Public Sénat « Bonjour chez vous », la députée LREM des Yvelines s’est dite « interloquée » par les propos d’Audrey Pulvar sur les réunions non-mixtes de l’Unef, qui ont fait polémique ce week-end.
Le principe d’égalité salariale entre les hommes et les femmes est entré dans la loi en 1972. Pourtant, près de 50 ans plus tard, la situation dans les entreprises est toujours alarmante. Cette semaine dans Dialogue citoyen, Rebecca Fitoussi reçoit le témoignage d’une femme victime de discrimination salariale. Après de longues années de procédures, la justice lui a donné gain de cause, mais elle se retrouve maintenant sans emploi. Un témoignage édifiant.
Depuis un an, le coronavirus a bouleversé nos vies. Entre restrictions de déplacement et application des gestes barrières, les rapports entre les hommes ont été profondément limités. Le recours au télétravail est devenu courant, et les outils numériques ont suppléé à l’impossible proximité avec nos proches. Sommes-nous à un tournant ? Quelles conséquences sur notre sensibilité, et nos psychés ? Le lien numérique va-t-il remplacer le lien physique ? Jérôme Chapuis et ses invités décryptent les impacts de cette pandémie sur nos vies.
Mi-mars la Commission européenne a dévoilé son projet de certificat destiné à faciliter, pour les personnes vaccinées notamment, les voyages au sein de l’Union européenne. Il est réclamé par les pays les plus dépendants du tourisme, Grèce en tête. Mais comment faire en sorte que ce passeport vert ne soit pas discriminatoire et que les données des citoyens soient protégées ? Eléments de réponse avec les invités d’ici l’Europe.