Ils ont mené des dizaines d’auditions depuis fin novembre. Les sénateurs, qui ont la main sur la réécriture de la proposition de loi sur la sécurité globale, entendent refondre le controversé article 24, mais aussi encadrer les nouveaux aménagements prévus en matière de vidéosurveillance et de pouvoirs des polices municipales.
Invité sur le plateau de la matinale de Public Sénat, le sénateur (LR) et rapporteur de la proposition de loi « Sécurité globale », Marc-Philippe Daubresse admet que l’examen de la loi est un « véritable désordre », estimant qu’elle est « mal écrite », attentatoire aux libertés, et interfère avec le projet sur la loi « Séparatisme » et le « Beauvau de la sécurité ».
Le gouvernement prépare un texte sur la présidentielle. Il permettra, en autres, de repousser le début des comptes de campagne officiels de l’élection de 2022. En cause : le report des régionales en juin, qui entraîne un chevauchement des comptes des deux scrutins. Une première, à laquelle un projet de loi organique devra remédier.
Invité de l’émission Bonjour chez vous, le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation est revenu sur la situation des agriculteurs, qu’il qualifie de « premiers écologistes » assurant que de nouvelles mesures de soutien seraient mises en place pour les aider à faire face à la crise.
Le président du Conseil supérieur de l’audiovisuel, Roch-Olivier Maistre, a été auditionné par les sénateurs, dans le cadre d’une audition habituelle annuelle. Plusieurs sénateurs ont mis en avant des problèmes identifiés sur les antennes des chaînes d’information en continu.
Après une série d’auditions engagée au mois de décembre, l’office parlementaire d’évaluation des choix scientifiques et technologiques (OPECST), présentait, ce mardi, ses recommandations sur la stratégie vaccinale face à l’épidémie de Covid-19.
Entre incompréhension et tristesse, la démission de l’édile phocéenne a surpris les sénateurs. La droite fustige un « malaise profond » dans la majorité municipale quand les écologistes se montrent sereins sur l’application du programme.
L’absence d’aménagements pour les établissements et la perspective de fermetures jusqu’au 7 janvier au moins laissent les acteurs dans un état de désarroi. Ce mardi, jour marqué par des mobilisations sur tout le territoire, beaucoup de sénateurs partagent la frustration du secteur.
L’annonce d’Emmanuel Macron d’un référendum afin d’introduire la protection de l’environnement dans la Constitution, est loin de conduire à un plébiscite des professeurs de droit public. En cause, la charte de l’Environnement déjà partie prenante des valeurs fondamentales de la Ve République.
L’impact de la crise sanitaire sur les finances locales, c’est le sujet sur lequel se penche le rapport de la Cour des comptes publié ce mardi 15 décembre. Il souligne des situations contrastées entre collectivités locales, les départements risquent de basculer dans le rouge.
L’édile de la cité phocéenne a annoncé sa démission en conférence de presse pour raisons « de santé ». Elle souhaite inverser les rôles avec son premier adjoint, Benoît Payan, pour que ce dernier « devienne maire ».
Les sénateurs LR réagissent plutôt froidement à l’annonce d’Emmanuel Macron sur un référendum pour introduire la protection du climat dans la Constitution. Sans accord du Sénat, il est impossible de l’organiser. « On n’est pas obligés de céder à toutes les démagogies » prévient Muriel Jourda. « Qu’est-ce que la proposition apportera de plus que la Charte de l’Environnement, déjà de valeur constitutionnelle ? » demande Philippe Bas.