L’annonce d’Emmanuel Macron d’un référendum afin d’introduire la protection de l’environnement dans la Constitution, est loin de conduire à un plébiscite des professeurs de droit public. En cause, la charte de l’Environnement déjà partie prenante des valeurs fondamentales de la Ve République.
L’impact de la crise sanitaire sur les finances locales, c’est le sujet sur lequel se penche le rapport de la Cour des comptes publié ce mardi 15 décembre. Il souligne des situations contrastées entre collectivités locales, les départements risquent de basculer dans le rouge.
L’édile de la cité phocéenne a annoncé sa démission en conférence de presse pour raisons « de santé ». Elle souhaite inverser les rôles avec son premier adjoint, Benoît Payan, pour que ce dernier « devienne maire ».
Les sénateurs LR réagissent plutôt froidement à l’annonce d’Emmanuel Macron sur un référendum pour introduire la protection du climat dans la Constitution. Sans accord du Sénat, il est impossible de l’organiser. « On n’est pas obligés de céder à toutes les démagogies » prévient Muriel Jourda. « Qu’est-ce que la proposition apportera de plus que la Charte de l’Environnement, déjà de valeur constitutionnelle ? » demande Philippe Bas.
Pour le président du groupe LR de l’Assemblée, le référendum sur l’intégration de la protection de l’environnement à la Constitution, proposé par Emmanuel Macron, fait « très vieille politique, très politicienne, elle est manœuvrière ».
Invité d’Audition publique ce 14 décembre, le secrétaire général de la CFDT a répété que la réforme de l’assurance chômage, suspendue par la crise du Covid-19, était « injuste et inadaptée », et qu’il fallait repartir de zéro.
Invité d’Audition publique ce 14 décembre, 2020, le secrétaire général de la CFDT Laurent Berger a mis en doute la pertinence de laisser les établissements culturels à l’arrêt.
Les professionnels du tourisme se réunissaient ce lundi 14 décembre à Paris. Les restaurateurs, hôteliers ou encore propriétaires de discothèques se mobilisent pour demander une réouverture « le plus rapidement possible » et formuler de nouvelles propositions pour sortir le secteur de la crise.
Les sénateurs du groupe socialiste demandent que la commission des lois auditionne le ministre de l’Intérieur mais aussi la présidente de la Commission nationale informatique et libertés, après la révision de trois décrets qui élargit le spectre des informations collectées dans les fichiers de police relative à la sécurité intérieure.
Le groupe PS du Sénat a déposé une proposition de loi pour l’accès des jeunes dès 18 ans à de nouveaux droits sociaux. Lors de l’examen du budget, les socialistes avaient déjà déposé un amendement en ce sens pour en faveur de la jeunesse, « la génération sacrifiée dans cette crise ».
Bruno Retailleau veut un débat mercredi au bureau politique sur sa proposition de primaire. Alors que le bureau a été renouvelé, chacun compte ses appuis et deux lignes risquent de s’affronter. Comme résume un sénateur, « Retailleau, c’est accélérons, Jacob c’est freinons. De là à se foutre sur la gueule, il ne faut pas exagérer… »
La mue du Conseil économique, social et environnemental (Cese) n’est pas encore actée. Après l’échec d’un accord entre députés et sénateurs en commission mixte paritaire, l’examen en seconde lecture de la loi organique réformant le CESE avait lieu ce lundi au Sénat. La majorité sénatoriale a rejeté le texte.