Dans le cadre de l’examen du projet de loi de finances (PLF) pour 2021, la droite sénatoriale a adopté contre l’avis du gouvernement, à 215 voix pour et 125 voix contre, un amendement visant à réformer l’aide médicale d’État.
Auditionné par la commission des Lois de l’Assemblée nationale, ce lundi, le ministre de l’Intérieur est revenu sur les violences policières de ces dernières semaines, et s’est livré devant les députés à un plaidoyer pour la défense des forces de l’ordre, évoquant des pistes d’amélioration dans le fonctionnement de l’institution policière.
L’autorité publique indépendante a dévoilé ce lundi matin ses préconisations quant à un plan en cinq phases pour vacciner la population conte le Covid-19. Priorité est donnée « aux plus vulnérables ».
Le Sénat a adopté les crédits de la mission interministérielle Recherche et Enseignement du budget 2021. De tous bords, les sénateurs ont dénoncé le manque de lisibilité de crédits issus du plan de relance, de la loi de programmation de la recherche et du projet de loi de finances pour 2021.
Alors que Christophe Castaner a annoncé la réécriture de l’article 24, ce dernier n’est en réalité pas supprimé. Il sera bien examiné par les sénateurs début 2021. Ils comptent réécrire l’article litigieux uniquement « au travers du Code pénal » et ne « plus faire référence à la loi de 1881 ».
Tandis que le ministre de l’Economie espère remettre sur la table la réforme des retraites, les sénateurs de gauche pointent du doigt un « mauvais timing ». La droite sénatoriale, quant à elle, apporte son soutien à Bruno Le Maire.
La ministre déléguée en charge des Sports, invitée de la matinale de Public Sénat « Bonjour chez vous », dévoile l’ampleur du phénomène et affirme que des « fédérations sportives et des cadres d’Etat » ont incité les victimes à se taire dans certaines affaires.
« Pourquoi voulez-vous qu’à 67 ans, je commence une carrière de dictateur ? » s’était écrié le Charles de Gaulle à quelques semaines de son retour au pouvoir, mi-amusé, mi-agacé, par les questions des journalistes. Longtemps en effet, certains ont suspecté le général de velléités autoritaires, sans jamais qu’elles ne se concrétisent vraiment. Une ambivalence que montre bien de Gaulle, le monarque et le Parlement, un documentaire de Pierre Bonte-Joseph, pour Public Sénat en partenariat avec les Archives nationales.
Daniel Cordier, alias Caracalla durant la résistance, n’est plus. L’ancien secrétaire de Jean Moulin est décédé vendredi 20 novembre. Désormais, Hubert Germain se retrouve seul, dernier Compagnon de la Libération encore en vie. Mais qui étaient ces Compagnons de la Libération ? Comment cet ordre forclos, crée par le Général de Gaulle, est-il né ? Sa mémoire est-elle en péril avec la mort de ses derniers membres ? Jérôme Chapuis et ses invités tentent de répondre à ces questions, dans Un Monde en Docs.
Pour gérer les crises, le général de Gaulle est longtemps apparu comme un homme providentiel. Ce fut, la raison même, de son retour au pouvoir en 1958. Mais dix ans plus tard, ce sont bien les conseils de son Premier ministre, Georges Pompidou, qui lui permirent d’apaiser les tensions en mai 1968. C’est ce que montrent certaines archives, dans de Gaulle, le monarque et le Parlement, un documentaire de Pierre Bonte-Joseph, pour Public Sénat et en partenariat avec les Archives nationales.
Dans le cadre de l’examen du budget 2021, le sénat a attribué une rallonge budgétaire, contre l’avis du gouvernement, pour les cours d’éducation sexuelle. Des cours qui ne sont pas toujours assurés faute de personnels, souligne la socialiste, Marie-Pierre Monier.
La Haute assemblée a adopté les crédits de l’enseignement scolaire en corrigeant le tir sur les sommes allouées à l’enseignement agricole qui connaît cette année encore des suppressions de postes. Le ministre de l’Education nationale s’est opposé à cet amendement.