Ce lundi, à partir de 17 heures, la droite sénatoriale met au débat l’une de ses mesures phares contre l'islamisme radical : une proposition de loi constitutionnelle pour inscrire dans la Constitution « la prééminence des règles de la République ». Un débat à suivre en direct sur Public Sénat. Le texte avait été déposé en février, bien avant l’assassinat de Samuel Paty.
Renaud Muselier était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce lundi 19 octobre. Le président de la région Sud Provence-Alpes-Côte d’Azur s’est exprimé suite au drame de Conflans-Sainte-Honorine. Selon lui, il faut agir collectivement et fort contre l’islamisme qu’on ne combattra pas avec des bougies et des commémorations. Il souligne l’importance des témoignages de soutien mais demande des actes concrets. Renaud Muselier est par exemple favorable à la dissolution du CCIF (Collectif contre l’islamophobie en France). Il était au micro d’Oriane Mancini.
La grippe de Hong Kong, une pandémie oubliée qui fît 36 000 morts en France dans l’indifférence quasi générale, sans rien changer aux habitudes de la population : c’était en 1969, il y a seulement cinquante ans. Mais la situation était-elle comparable avec la Covid-19 ? L’intensité d’une crise sanitaire est-elle corrélée à la gravité d’une épidémie ? Des questions auxquelles tentent de répondre les invités de Jérôme Chapuis, dans l'émission Un Monde en Docs.
C’est a priori une bonne nouvelle pour les exportations françaises : la France va vendre 18 Rafale à la Grèce. Mais pour satisfaire au plus vite la commande, une partie sera prélevée sur la flotte existante de Rafale actuellement utilisée par l’Armée française, laissant craindre un affaiblissement des capacités opérationnelles des forces aériennes. Une situation qui inquiète les sénateurs.
Invité l’émission ici l’Europe, et interrogé par Caroline de Camaret de France24, le vice-président de la commission européenne Margarítis Schinás, a affirmé que la Turquie représentait un problème et une menace systémique.
À quelques semaines des élections américaines du 4 novembre prochain, le regard des Européens est naturellement tourné de l‘autre côté de l’Atlantique. Mais qui est le favori sur le Vieux continent ? Si pour les proches du premier ministre hongrois c’est Donald Trump, la gauche européenne se mobilise pour la fin de la « parenthèse Trump ». Invités de l'émission Ici l'Europe, les deux eurodéputés Bazlas Hidveghi et Javier Moreno-Sanchez ont chacun défendu leur candidat favori.
Ils ont été pendant longtemps les grands oubliés des prises en charge.Les aidants, ceux qui accompagnent au quotidien leurs proches malades, handicapés ou diminués, sont enfin de mieux en mieux reconnus et soutenus. Et ils en ont besoin, comme en témoigne Marie-Antoinette dont le mari est atteint de la maladie d’Alzheimer.
Invité de l’émission « Allons plus loin », le réalisateur, Frederick Wiseman a présenté son dernier documentaire « City Hall », dont Public Sénat est partenaire. Pour le film, le documentariste a investi la municipalité de Boston, où le maire démocrate Martin Walsh « est l’anti Trump » selon lui.
Huit sénateurs ont été testés positifs au coronavirus au cours de la semaine qui s’est écoulée, selon le Sénat. Une nouvelle campagne de dépistage va être lancée.
Mercredi soir, le chef de l’État a annoncé que les bénéficiaires de l’aide au logement, parmi lesquels les moins de 25 ans, seraient concernés par l’aide exceptionnelle de 150 euros. Une annonce démentie par Matignon le lendemain. Finalement, Jean Castex annoncera une aide spécifique pour les jeunes, samedi, à l'occasion la journée mondiale du refus de la misère.
Mardi dernier, les sénateurs ont voté par surprise une mesure permettant la réouverture des bars et discothèques. Mais il n’en sera rien. Le retour de l’état d’urgence sanitaire impose le couvre-feu. Et le projet de loi qui portait la mesure a été tout simplement retiré de l’ordre du jour du Sénat. Il n’y reviendra pas.
Alors que le report des prochains scrutins locaux est évoqué par l’exécutif, l’idée ne semble pas connaître un franc succès chez les sénateurs. « Bientôt, il n’y aura plus d’élections départementales et régionales car ça va arranger l’exécutif » raille le président du groupe centriste, Hervé Marseille.