Le 27 août 2020, Valeurs Actuelles publie dans le cadre d’une fiction intitulée « Obono l'Africaine », un dessin de cette dernière en esclave. Immédiatement, la majorité de la classe politique condamne la publication. L’hebdomadaire lui-même dans un communiqué, présente ses excuses quelques jours plus tard. Une unanimité et un soutien à la députée de la France Insoumise rare. Une affaire qui a enflammé les réseaux sociaux.
Le sénateur LR, membre de la commission d’enquête sur la gestion de la crise sanitaire, se montre « sceptique » sur l’adaptation au niveau de chaque préfecture des réponses à l’augmentation du nombre de cas de Covid-19. Il appelle également à tirer avant l’automne les leçons du printemps.
Philippe Martinez était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce vendredi 18 septembre. Le secrétaire général de la CGT a souligné le caractère indispensable de la journée de mobilisation d’hier pour exprimer une colère très présente dans la société. Interrogé sur la fermeture de l’usine Bridgestone à Béthune, Philippe Martinez a expliqué que les aides de l’État aux entreprises devaient fonctionner comme des contrats : si les contreparties de maintien d’emploi ne sont pas respectées, il faut punir en demandant de rembourser et mettre des amendes. Il était au micro d’Oriane Mancini.
La commission d’enquête du Sénat sur les concessions d’autoroutes dénonce le manque à gagner de 7,8 milliards d’euros pour l’Etat lors des privatisations de 2006 et des « négociations opaques » en 2015, sous l’égide de Ségolène Royal et d’Emmanuel Macron. D’ici 2036, leur rentabilité va augmenter, avec 32 milliards d’euros rien que pour Vinci et Eiffage.
Le département de la Côte d’Or est l’un des points chauds de ces sénatoriales. L’attention se porte sur le président du groupe LREM François Patriat, qui souhaite conserver son siège, même si la bataille s’annonce serrée.
Auditionné par la commission d’enquête du Sénat chargée de l’évaluation des politiques publiques face aux pandémies, le ministre de l’Intérieur est revenu sur le rôle « pivot » de son ministère, et a également été questionné sur des sujets plus polémiques par les membres de la Haute chambre.
Ancien directeur général de la Santé entre 2013 et 2017, Benoît Vallet est revenu sur l’état des stocks stratégiques de masques au moment de son départ, en particulier les masques FFP2, « ils sont passés de 380 millions de masques en 2013 à zéro au 31 décembre 2017 » a-t-il rapporté.
La crise du Covid-19 a mis en exergue le rôle essentiel des outils numériques, mais aussi les fractures qui en résultent. Dans un rapport, des sénateurs font 45 propositions et appellent à mobiliser 1 milliard d’euros pour financer l’inclusion numérique. C’est quatre fois plus que le montant alloué par le gouvernement dans le cadre du plan de relance.
Le professeur Didier Houssin, auditionné aux côtés d’autres anciens DGS ce 17 septembre par la commission d’enquête Covid-19 du Sénat, a estimé que le ministère de la Santé n’était pas « le mieux armé » pour piloter une gestion de crise sanitaire.
Au début de son audition devant la commission d’enquête sénatoriale sur la gestion de la crise de la Covid-19, le ministre de l’Intérieur s’est cru autorisé à enlever son masque après avoir prêté serment. Il s’est fait rattraper par la patrouille…
L’ancienne ministre de la Santé, entendue par la commission d’enquête du Sénat sur la lutte contre les pandémies, est revenue sur les freins logistiques et humains qui ont perturbé la campagne vaccinale contre la grippe A H1N1 en 2009. Elle a également dénoncé un recul des mesures d’asepsie dans les professions médicales.
Auditionnée par la commission d'enquête sénatoriale Covid-19, ce 17 septembre 2020, l'ancienne ministre de la Santé (2007-2012), Roselyne Bachelot s'est montrée surprise par le périmètre des questions de la rapporteure Catherine Deroche (LR).