Le professeur Jean-François Delfraissy, président du comité scientifique, était auditionné par la commission d’enquête du Sénat d’évaluation des politiques publiques face aux pandémies. Une sénatrice lui a demandé son avis sur un récent texte du gouvernement restreignant l'ouverture du chômage partiel aux personnes à risque face à la Covid-19.
Une mission d’information du Sénat a évalué les moyens mis en œuvre pour lutter contre le trafic de cocaïne entre la Guyane et l’Hexagone. Pour chaque vol qui relie Cayenne à Orly, une dizaine de « mules » transportent en moyenne 1,9 kilogramme de cocaïne chacun. Les sénateurs axent leurs préconisations sur la formation et la réinsertion des passeurs.
Tandis que plusieurs élus écologistes demandent la tenue d’un moratoire sur le déploiement de la 5G en France, le président de la République a assuré, ce lundi, que ce « tournant » aurait bien lieu. Une précipitation expliquée par des motifs économiques, selon le sénateur Ronan Dantec.
Réseaux sociaux, télévision, presse écrite : comment les jeunes s’informent-ils ? Équipés de leurs smartphones, ils ont pour la première fois au creux de leur main accès à l’information, mais sont-ils à même de faire le tri et de débusquer les intox ? Pour l’école, les parents et les journalistes, éduquer aux médias devient une nécessité.
Olivier Faure était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce mardi 15 septembre. Le premier secrétaire du PS est revenu sur les mesures sanitaires territorialisées. Selon lui, ce n’était pas la bonne méthode à suivre car le fait d’avoir des mesures différentes d’un département à un autre, crée un sentiment d’imprécision et d’improvisation. Interrogé sur le plan de relance, Olivier Faure regrette que l’État ne saisisse pas cette opportunité pour réorienter l’économie vers une transition sociale et écologique. Il a affirmé qu’il ne voterait donc pas ce plan. Il était au micro d’Oriane Mancini.
Invité de l’émission Audition publique, sur les chaînes parlementaires, le ministre chargé des Relations avec le Parlement, a été interrogé sur les réformes marquantes susceptibles d’être inscrites à l’agenda des assemblées au cours des prochains mois. Que ce soit 2020 ou 2021, un retour de la réforme des retraites « n’est pas acquis », selon lui.
Invité de l’émission Audition publique, sur les chaînes parlementaires, le ministre chargé des Relations avec le Parlement, Marc Fesneau, a indiqué qu’il allait accorder plusieurs jours supplémentaires aux députés de la commission des Finances pour examiner le budget 2021. Le président de la commission des Finances, Éric Woerth (LR), dénonçait des délais anormalement courts.
Dans les Bouches-du-Rhône, en Gironde et Guadeloupe, des nouvelles mesures plus restrictives ont été annoncées, en concertation avec les élus. Quand certains y voient un « coup de semonce » nécessaire pour alerter la population, d’autres pointent le manque de données précises sur les contaminations qui permettraient de prendre les meilleures décisions.
Le groupe RDSE joue-t-il sa survie avec les élections sénatoriales du 27 septembre ? La réplique des élections municipales de juin couplée à un nombre important de sénateurs concernés par le renouvellement sème le doute. Le président du groupe se montre, lui, très confiant.
La Ligue contre le cancer tire la sonnette d’alarme face à l’aggravation de la pénurie de médicaments. Un phénomène qui s’est aggravé avec la période de confinement. En 2018, une mission d’information du Sénat incitait déjà à « recréer les conditions d’une production pharmaceutique de proximité ».
Tandis que les clusters se multiplient dans les établissements de l’enseignement supérieur, les sénateurs estiment que des mesures spécifiques doivent être mises en place dans les universités, et réclament plus de crédits.
Nicolas Bay était l’invité politique de l’émission « Bonjour Chez Vous ! », la matinale de Public Sénat, ce lundi 14 septembre. Le député européen membre du RN a réagi à la déclaration du secrétaire d’État à l’Union européenne, Clément Beaune. Ce dernier a indiqué que la France était prête à accueillir une centaine de migrants de Lesbos : une erreur selon Nicolas Bay. Il explique en effet que les migrants à Lesbos sont là pour des raisons économiques et que les accepter en France ne fera qu’en attirer des centaines d’autres. Plus largement interrogé sur la politique migratoire européenne, Nicolas Bay craint que le pacte sur l’immigration que prépare l’UE n’ajoute que du « laxisme au laxisme. » Il était au micro d’Oriane Mancini.