Confrontés au manque de saisonniers ou à la fermeture des marchés, les maraîchers voient leur chaîne désorganisée, à l’instar d’autres secteurs économiques.
Collecte de masques, prise en charge des courses, aide aux devoirs, soutien aux personnes âgées… Depuis la mise en place du confinement, les maires ruraux sont en première ligne pour faire appliquer les consignes et venir en aide aux Français dans des communes où il n’y a parfois ni commerce, ni pharmacie et où les services publics sont rares.
École à distance, télétravail, l’appel du chef de l’État à dématérialiser le plus possible notre quotidien pour faire face au covid-19 risque de renforcer la fracture numérique déjà importante dans le pays.
Depuis ce mardi, la France est officiellement en état d’urgence sanitaire. Pour lutter contre l’épidémie de coronavirus, l’exécutif dispose de pouvoirs exceptionnels. Le gouvernement est notamment habilité à prendre par ordonnance toute mesure permettant de faire face aux conséquences économiques, financières et sociales de la propagation du virus. Quel rôle est désormais amené à jouer le Parlement ? Au Sénat, les discussions autour de la mise en place d’un « comité de suivi » de l’action gouvernementale ont déjà débuté.
Relayé par le ministre de la Santé, l’avis Haut conseil de santé publique exclut l’utilisation de la chloroquine en dehors de cas graves, du cadre hospitalier et de toute décision collégiale. Une position saluée par deux sénateurs LR de premier plan.
Fermeture des marchés, soutien de la filière agricole, patriotisme alimentaire, Didier Guillaume le ministre de l’Agriculture et de l’Alimentation répond aux questions d’Oriane Mancini. Il est l’invité politique de Public Sénat.
Public Sénat vous propose le regard, l’analyse, la mise en perspective de grands experts sur une crise déjà entrée dans l’Histoire. Aujourd’hui, le regard de… Alexandre Adler, journaliste, historien, spécialiste des questions de géopolitique.