Sous la menace d’un procès pour complicité de harcèlement moral, Bruno Lasserre « conteste avec toute (son) énergie cette accusation », a-t-il affirmé devant le Sénat qui l’auditionnait. Les sénateurs ont rejeté sa nomination, mais les députés l’ont acceptée. Le Parlement émet un avis sur ce type de nomination.
Si « suspecte » que cela, l’inflation ? Pas selon les sénateurs, qui dans un rapport publié ce mardi, estiment qu’il est inexact de parler de hausses abusives et généralisées des prix. La Chambre haute fait plusieurs propositions pour le pouvoir d’achat.
Dans un communiqué publié ce lundi, la Commission de régulation de l’énergie constate que la hausse des prix de l’électricité due notamment à la guerre en Ukraine rend les énergies renouvelables rentables pour l’Etat. Les sénateurs sont divisés sur l’avenir du financement de ces énergies
Alors que l’hiver s’annonce difficile, le secteur commercial anticipe sa facture d’électricité. Les grandes surfaces, qui consomment en moyenne 450 kWh par mètre carré de surface en une année, doivent contribuer à l’effort national. Un plan de sobriété énergétique est conclu par les enseignes Leclerc, Carrefour, Auchan, Super U ou encore Monoprix, qui s’engagent à diminuer leur consommation d’énergie à partir du mois d’octobre. Sobriété contrainte, ou sobriété programmée ?
A l’issue du bureau politique des Républicains mardi 19 juillet, les Républicains ont décidé à l’unanimité de décaler les dates du Congrès pour élire leur nouveau chef de file.
Alors que le gouvernement a précisé ce matin que la nationalisation d’EDF se ferait par une OPA de l’Etat sur les 16 % du capital détenus par des actionnaires minoritaires, de nombreuses questions subsistent sur l’avenir de cette entreprise française historique. Au-delà du mécanisme financier choisi, quelle stratégie de long terme se dessine pour EDF ?
La droite réunit son bureau politique en fin de journée rue de Vaugirard. Au menu des discussions : le report du Congrès initialement prévu pour désigner son chef de file. En l’absence de « candidat naturel » après le retrait de Laurent Wauquiez, certains veulent temporiser, quitte à replonger dans une période de troubles.
Poussé vers la sortie à l’issue d’une crise de confiance majeure, Boris Johnson a annoncé sa démission de la tête du parti conservateur le 7 juillet dernier. A l’heure où le nom de son successeur n’est pas encore connu, Public Sénat vous propose de revenir sur trois années à Downing Street marquées par les suites du Brexit et les scandales à répétition.
La phase principale est terminée depuis vendredi 15 juillet : la plateforme Parcoursup annonce que 562 674 bacheliers ont reçu une ou plusieurs propositions d’admission. Pour les 94 000 élèves n’ayant aucun vœu d’accepté, c’est une deuxième phase qui commence.
La série à succès « Parlement », raconte, sur un mode satirique, les mésaventures d’un assistant parlementaire candide, témoin de la fabrication des lois européennes. Eurodéputés, fonctionnaires européens, lobbyistes, institutions, nul n’est épargné par cette série moqueuse, qui nous montre des français, allemands, espagnols, néerlandais, britanniques, leurs petits arrangements et leur travers nationaux… Y’a-t-il un fond de vérité ? Cette semaine « Ici l’Europe » pose la question à deux eurodéputés, en présence du réalisateur de la série.
Le ministre de l’Education nationale a été auditionné au Sénat pour la première fois depuis sa nomination. Il a été contraint de rassurer les sénateurs sur son « esprit laïc et républicain ». Une batterie de questions l’attendait concernant notamment la crise de recrutement pour la rentrée 2022.
A la sortie des questions d’actualité au gouvernement, le ministre chargé de l’industrie, Roland Lescure, a répondu aux questions de Public Sénat. L’ex président de la commission des affaires économiques de l’Assemblée regrette une polémique stérile et défend la méthode utilisée par Emmanuel Macron entre 2014 et 2016.