Organisée par divers acteurs de la société civile, plusieurs candidats à l’élection présidentielle et leurs représentants étaient invités, ce vendredi 1er avril, à une audition au Musée national de l’histoire de l’immigration pour détailler leurs propositions sur le sujet. A cette occasion, Public Sénat détaille les mesures phares des 12 candidats.
A l’approche du premier tour, les sondages se resserrent et l’inquiétude monte dans le camp macroniste, à gauche comme à droite. Et si Marine Le Pen battait le chef de l’Etat, en cas de second tour ? « Elle ne fait plus peur », met en garde la ministre Elisabeth Borne. « C’est possible. Il peut y avoir une catastrophe démocratique », alerte le socialiste Patrick Kanner. « Marine Le Pen n’a jamais été aussi près de la victoire », se réjouit son porte-parole Sébastien Chenu.
La candidate du Rassemblement National, dont l’écart avec Emmanuel Macron au deuxième tour de l’élection se resserre dans les sondages, multiplie les propositions sociales dans son programme de campagne. Mais les idées d’extrême droite restent centrales dans son projet politique.
L’encadrement des représentants d’intérêt auprès des décideurs publics reste une construction récente de notre législation. En moins de dix ans, des lois emblématiques ont été promulguées pour faire la transparence sur les actions d’influence. Petit tour d’horizon d’un sujet qui refait surface dans cette campagne présidentielle.
Lors d’un déplacement en Charente-Maritime, Emmanuel Macron a défendu sa vision de la transition énergétique. Il prône « une écologie du quotidien et du progrès », sans « stigmatiser » les Français, alors que son action depuis cinq ans est critiquée par les écologistes.
La commission des finances du Sénat a décidé de rendre un avis favorable sur le projet de décret d’avance présenté par le gouvernement, pour financer les mesures du plan de résilience. Mais les sénateurs émettent de « fortes réserves » sur le montage budgétaire.
Les sénateurs de la commission d’enquête sur la situation de l’hôpital appellent à partir des besoins de santé pour construire le budget de l’hôpital. Ils recommandent également d’améliorer rapidement les conditions de travail des soignants.
A la tête de la Direction du Renseignement Miliaire (DRM) depuis l’été 2021, le général Éric Vidaud a annoncé le mercredi 30 mars son départ à ses équipes. D’après des informations rapportées par plusieurs sources à l’Agence France-Presse, le général aurait payé des erreurs d’analyse de la DRM au sujet de l’invasion de l’Ukraine par les forces armées russes. Au Sénat, le président de la commission des affaires étrangères envisage une action via la délégation parlementaire du renseignement (DPR).
Le président du Sénat recevait, ce jeudi, une délégation de parlementaires ukrainiens. Il s’est engagé à demander au président de la Croix-Rouge internationale la présence de l’organisation « sur les terrains de combat » en Ukraine.
Une délégation ukrainienne a été reçue ce matin par Gérard Larcher. Celle-ci était composée du maire de la ville de Melitopol ainsi que de quatre députées ukrainiennes, venues demander l’aide de la France dans le conflit face à la Russie.
La commission d’enquête sénatoriale sur la situation de l’hôpital a remis ses conclusions ce 31 mars. Le rapport accorde une place centrale aux solutions. Les sénateurs appellent à renforcer la qualité de vie au travail des soignants, redonner de la confiance aux équipes et à assurer un financement « durable et cohérent » avec les besoins en santé.
Après 6 mois de travaux et 48 auditions, la commission d’enquête du Sénat sur la concentration des médias a remis 32 propositions ce jeudi. Entre la droite sénatoriale et le rapporteur socialiste, David Assouline, un conflit est apparu sur la conduite des travaux, en particulier lorsqu’il s’est agi d’aborder la question de la chaîne CNews de Vincent Bolloré.