Invité de l’émission Territoire d’Infos sur Public Sénat et les Indés Radios, la tête de liste PS-Place publique pour les européennes, Raphaël Glucksmann a du mal à comprendre les polémiques autour des dons pour Notre-Dame et estime qu’Emmanuel Macron n’aurait pas dû avancer le chiffre de cinq ans pour la reconstruction de la cathédrale.
La réforme des institutions va faire son retour l’été prochain. Emmanuel Macron la complète avec le RIC local et le tirage au sort de citoyens. Si ces sujets laissent perplexes les sénateurs, la tonalité de la réforme pourrait favoriser la recherche d’un accord, en évitant une guerre ouverte avec le Sénat.
Dans son projet d’allocution, le président de la République prévoyait un moratoire sur les fermetures de services publics, un élément revenu à de nombreuses reprises au cours du grand débat national. Deux projets de loi, en cours d’examen au Parlement, sont particulièrement concernés, et suscitent l’inquiétude de certains acteurs.
Invité de « Questions aux sénateurs », le vice-président du Sénat s’étonne du délai fixé par Emmanuel Macron pour la reconstruction de Notre-Dame de Paris ainsi que du concours d’architectes annoncé à l’issue du Conseil des ministres, ce mercredi.
L’option fait partie de l’éventail de mesures post-grand débat qui devrait être annoncé par le président de la République dans les jours à venir. Une mesure démagogique pour le Sénat qui, à l’issue de ses travaux sur cette institution, plaide pour une refonte de l’ENA.
De l’incendie de la cathédrale de Notre-Dame de Paris à une prise de parole imprévue hier soir, le plan de communication d’Emmanuel Macron pour sortir du Grand débat a complètement été balayé par l’actualité.