Dans une interview à La Croix et à Libération, Emmanuel Macron s’est prononcé en faveur d’une « aide à mourir » et annonce l’examen d’un projet de loi au Parlement en mai. Un texte que le Sénat pourrait adopter, indique le président du groupe centriste Hervé Marseille.
Après de longs mois de réflexion et plusieurs reports, Emmanuel Macron a détaillé dimanche son « modèle français de la fin de vie » : une « aide à mourir » qui doit permettre à certains patients, selon des « conditions strictes », de recevoir une « substance létale ».
Lors de la cérémonie du scellement de la Constitution, place Vendôme à Paris, Emmanuel Macron a annoncé qu’il souhaitait l’inscription de la liberté d’avoir recours à l’IVG dans la charte des droits fondamentaux de l’UE.
Interrogé sur le financement du « pass rail », dispositif lancé par l’ancien ministre des Transports Clément Beaune pour voyager en TER et Intercités à bas coût, Patrice Vergriete propose d’expérimenter le dispositif auprès des jeunes.
Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, la ministre de l’Education nationale, Nicole Belloubet est revenue sur les mesures mises en place suite aux menaces de mort visant le proviseur du lycée Maurice-Ravel, après une altercation avec une élève pour qu’elle enlève son voile.
Depuis l’agression russe en Ukraine, l’élargissement de l’Union des 27 est au cœur des débats. En 2022, le pays a d’ailleurs obtenu le statut de candidat à l’adhésion à l’Union Européenne. Interrogé dans l’émission Ici l’Europe, l’eurodéputé François-Xavier Bellamy alerte sur ce qu’il considère comme un risque de déstabilisation notamment pour l’agriculture européenne.
Ce mardi, dans 15 Etats américains, des millions d’Américains sont appelés aux urnes pour désigner leurs prétendants démocrate et républicain à l’élection présidentielle de novembre. Cette journée permet traditionnellement de donner une indication sur les candidats qui seront désignés par leurs partis. Cette année peu de suspense dans les deux camps, Joe Biden et Donald Trump sont bien partis pour se faire face de nouveau en novembre.
Députés et sénateurs réunis en Congrès ont approuvé lundi 4 mars la constitutionnalisation de l’interruption volontaire de grossesse (IVG), par 780 voix pour et 72 contre. Sur 902 parlementaires, 852 se sont exprimés. Une majorité des trois cinquièmes était requise pour valider cette révision constitutionnelle, soit au moins 512 voix.
Le Comité interministériel de la prévention de la délinquance et de la radicalisation, déjà mis en cause lors de l’affaire du fonds Marianne, serait, selon la Cour des comptes, mal organisé, mal géré, et certains de ses financements en proie à de graves dysfonctionnements.
Lors de son audition devant la délégation aux droits des femmes du Sénat, Judith Godrèche avait exprimé son incompréhension de voir maintenu Dominique Boutonnat à la tête du CNC, malgré sa mise en examen pour agression sexuelle. Le président de la commission de la Culture et la présidente de la délégation aux droits des femmes du Sénat viennent d’envoyer un courrier à Rachida Dati lui demandant de mettre fin aux fonctions du président du CNC.
Lundi 4 mars, le Parlement réuni en Congrès va inscrire la liberté d’avoir recours à une interruption volontaire de grossesse dans la Constitution. On vous en dit plus sur les étapes de cet évènement historique. Un évènement à suivre sur les antennes de Public Sénat et LCP de 14h30 à 19h30.
Invitée des chaînes parlementaires, dans l’émission Parlement Hebdo, la sénatrice écologiste, Mélanie Vogel est revenue sur le scrutin historique qui va permettre l’inscription de l’IVG dans la Constitution, malgré la position défavorable des présidents des groupes LR et centriste ainsi que de Gérard Larcher.