En déplacement dans une école primaire du IXe arrondissement de Paris, Emmanuel Macron a annoncé une réforme de la formation initiale des professeurs des écoles. Dès l’année prochaine, le concours sera avancé à bac plus 3 au lieu de bac plus 5 actuellement avec comme double objectif de mieux préparer les étudiants, et répondre à la faiblesse de l’attractivité du métier.
Le gouvernement a annoncé mardi le lancement d’un groupe de travail, confié aux députés de la majorité, visant à faire des propositions sur la taxation des rentes d’ici l’été. Un symbole de plus « de l’amateurisme et de l’impréparation du gouvernement face à la gravité du déficit public », pour le rapporteur général du budget, Jean-François Husson.
Mercredi soir, Nicole Belloubet a indiqué aux sénateurs que la baisse de la dépense publique qui impacte son ministère comme les autres, allait être supporté par les budgets du service civique et du SNU.
Auditionnée par la commission de la culture et de l’éducation du Sénat, Nicole Belloubet a indiqué qu’il manquait des postes d’enseignants pour les « groupes de niveau » en mathématiques et en français au collège, mis en place à la rentrée prochaine. La ministre a évoqué le recrutement de contractuels, mais compte également faire appel à des retraités.
La ministre déléguée chargée de l’Enfance, de la Jeunesse et des Familles, Sarah El Haïry a présenté le nouveau quatuor de personnalités nommées à la tête de la Commission indépendante sur l’inceste et les violences sexuelles faites aux enfants (Ciivise). Lancée en 2021, la commission avait recueilli près de 30 000 témoignages et émis 82 recommandations avant d’être rattrapées par des polémiques.
Mardi, le Sénat a largement adopté le projet de loi constitutionnelle visant à élargir le corps électoral pour les élections provinciales de Nouvelle-Calédonie. Le texte a, toutefois, été sensiblement amendé par la majorité sénatoriale afin de faciliter la poursuite des discussions locales sur l’avenir institutionnel de l’Archipel.
Ce mardi, le Sénat se prononce par un vote solennel sur le projet de loi constitutionnelle visant à élargir le corps électoral pour les élections provinciales de Nouvelle Calédonie. Passablement irrité par les modifications des sénateurs, le ministre de l’Intérieur, Gérald Darmanin avait, un temps, envisager de demander une seconde délibération avant d’y renoncer.
Mardi 2 avril, le Sénat se prononcera par un vote solennel sur le projet de loi constitutionnelle visant à élargir le corps électoral pour les élections provinciales de Nouvelle Calédonie. Mais lors de l’examen des articles, un amendement du rapporteur LR, Philippe Bas, a passablement irrité Gérald Darmanin qui a demandé une seconde délibération du texte.
Deux mois après le mouvement de révolte des agriculteurs, Marc Fesneau a rappelé au Congrès de la FNSEA l’objectif du gouvernement de permettre à la France « de retrouver sa souveraineté alimentaire ». Pour ce faire, le ministre mise sur la loi d’orientation agricole qui sera présentée en Conseil des ministres mercredi prochain. Un texte qui soulève pourtant bien peu d’enthousiasme de part et d’autre de l’hémicycle au Sénat.
Auditionné par la commission de la culture du Sénat, Philippe Jost, le président de l’établissement public chargé de la restauration et de la conservation de Notre-Dame, a apporté des nouvelles rassurantes aux élus. « Nous tenons les délais et les budgets », a-t-il assuré en détaillant notamment le nouveau dispositif de protection incendie.
Mardi soir, le Sénat a adopté le projet de loi constitutionnelle visant à élargir le corps électoral des élections locales en Nouvelle Calédonie. Sans cette réforme, le prochain scrutin pourrait être frappé d’inconstitutionnalité. Au banc des ministres, Gérald Darmanin n’a pas apprécié certaines modifications de la chambre haute qui lui font craindre de ne pas pouvoir convoquer les électeurs à temps.
Après l’attentat revendiqué par l’Etat islamique qui a causé 137 morts à Moscou, Emmanuel Macron a indiqué que l’organisation terroriste avait déjà « conduit ces derniers mois plusieurs tentatives » sur le sol français. Au début du mois, devant le Sénat, Gérald Darmanin avait alerté sur un nouveau mode opératoire des organisations terroristes qui consiste à « payer des délinquants de haut niveau » pour mener leurs actes.