Après une semaine d’émeutes et de pillages liés à la mort du jeune Nahel, lors d’un refus d’obtempérer, le ministre de l’Intérieur était auditionné par la commission des lois du Sénat . Depuis la nuit du 27 au 28 juin, 3.486 personnes ont été interpellées, 12.202 véhicules incendiés, 1.105 bâtiments brûlés ou dégradés et 209 locaux de la police nationale, de la gendarmerie ou des polices municipales attaquées, selon Beauvau. Revivez l’audition en vidéo.
Aux questions d’actualité au gouvernement du Sénat, le ministre de l’Intérieur a été interpellé par le sénateur socialiste, spécialiste des questions de sécurité, Jérôme Durain sur les relations entre la police et la population ».
Un jour avant l’annonce de l’exécutif d’un projet de loi « d’urgence » pour accélérer la reconstruction dans les villes touchées par les émeutes, la présidente LR de la commission des affaires économiques, Sophie Primas déposait une proposition de loi qui prévoit des « mesures dérogatoires exceptionnelles » pour reconstruire au plus vite les bâtiments publics détruits ou endommagés.
Après une semaine de violences urbaines liées à la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer, droite et gauche se divisent sur les pistes de sortie de crise, entre mesures répressives et mesures structurelles en faveur de la politique de la ville et des services publics.
En réponse aux émeutes liées à la mort du jeune Nahel, l’exécutif a mis l’accent sur l’âge des casseurs, mineurs pour la plupart. Emmanuel Macron, Éric Dupond-Moretti ou encore Gérald Darmanin en ont appelé à la responsabilité des parents. Que prévoit la loi ?
Après trois nuits de violences urbaines dans plusieurs villes de France déclenchées par la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer, les appels à l’apaisement et le dispositif de sécurité restent sans effets. Au-delà de sa réponse sécuritaire, l’exécutif est attendu sur la politique de la ville et la cohésion sociale, un angle mort de son précédent quinquennat pour les sénateurs.
Après deux nuits de violences urbaines dans plusieurs villes de France déclenchées par la mort du jeune Nahel, tué par un policier lors d’un refus d’obtempérer, Les Républicains demandent le déclenchement de l’Etat d’urgence. Quelles sont les implications de ce régime d’exception ?
Suite à la mort du jeune Nahel à Nanterre lors d’un refus d’obtempérer mardi, sur le plateau de Public Sénat, la porte-parole de la police nationale a apporté les derniers chiffres de l’usage des armes des policiers lors de ces situations. Elle annonce 138 tirs sur des véhicules en mouvement en 2022 contre 157 en 2021.
La mort tragique d’un adolescent mardi à Nanterre, abattu au volant d’une voiture à bout portant par un policier car il refusait d’obtempérer, pose une nouvelle fois la question d’une évolution de la législation.
La commission spéciale du Sénat a adopté, ce mardi, une série d’amendements au projet de loi visant à sécuriser et à réguler l’espace numérique. Un texte qui transpose en droit français plusieurs règlements européens visant à contrôler les GAFAM.
26 sénateurs socialistes ont accepté de soumettre une mèche de leurs cheveux à une analyse toxicologique et les résultats sont inquiétants. Ils font état de la présence de mercure, pesticides, plastifiants mais aussi des terres rares. A l’origine de cette initiative, la sénatrice, Angèle Préville estime avoir « des preuves tangibles » de la contamination des Français à différents polluants.
Ancienne figure de l’hebdomadaire d’extrême droite « Valeurs Actuelles », Geoffroy Lejeune est pressenti pour prendre la tête de la direction générale de la rédaction du JDD, désormais contrôlé par Vincent Bolloré. Une arrivée qui a conduit à une grève immédiate de la rédaction. L’année dernière, devant la commission d’enquête du Sénat sur la concentration des médias, le magnat breton avait assuré que son intérêt pour les médias était purement économique.