Le Niger est dans une situation politique confuse suite à la prise de pouvoir revendiquée par les militaires de la garde présidentielle. Dans ce pays d’Afrique de l’Ouest, la suite des évènements est suivie de très près par la France présente militairement et économiquement dans le pays.
Lors de sa visite en Nouvelle-Calédonie, Emmanuel Macron a confirmé son souhait de la tenue d’une révision de la constitution début 2024. Un vœu qui pourrait aboutir à la condition d’un accord entre loyalistes et indépendantistes, loin d’être acquis. Le tout dans un calendrier contraint puisque les élections provinciales néo-calédoniennes se tiennent en mai 2024.
La nouvelle convention signée le vendredi 21 juillet entre les chirurgiens-dentistes et l’Assurance maladie prévoit de réguler leur installation pour lutter contre les déserts médicaux. Cette disposition déjà appliquée aux kinés et aux infirmiers est largement refusée par les médecins généralistes et spécialistes. De quoi relancer le débat.
Emmanuel Macron a fait son bilan des 100 jours lors d’une interview aux JT de 13h de TF1 et France 2 ce lundi 24 juillet. Un entretien enregistré, à distance qui n’a pas convaincu ni sur le fond ni sur la forme. Le président n’a rien annoncé de nouveau.
En déplacement en Océanie, le président Emmanuel Macron fait étape en Nouvelle-Calédonie jusqu’à mercredi. L’avenir institutionnel du territoire français est toujours en suspens après le rejet par trois fois de l’indépendance. Les sénateurs de la mission d’information sur le sujet plaident pour que le chef de l’Etat ramène les indépendantistes autour de la table des négociations. Un défi de taille.
Le débat sur la responsabilité des parents des émeutiers s’est invité au Sénat lors de la séance de questions au gouvernement du mercredi 5 juillet. La sénatrice socialiste Laurence Rossignol a dénoncé la ligne gouvernementale et appelle plutôt à aider les mères des quartiers prioritaires. Eric Dupond-Moretti, le ministre de la Justice, a lui réaffirmé le devoir des parents envers leurs enfants.
Interrogée par la commission d’enquête sénatoriale ce mercredi 14 juin sur le « fonds Marianne », Sonia Backès, secrétaire d’Etat chargée de la citoyenneté, a affirmé qu’il y avait eu des dysfonctionnements dans l’attribution de certaines subventions. Elle a également apporté des réponses sur les liens qu’elle entretient avec son cabinet et le CIPDR, nourrissant ainsi les réflexions des sénateurs après l’audition de Marlène Schiappa plus tôt dans la journée.
Après l’audition de Marlène Schiappa devant la commission d’enquête sénatoriale sur le “fonds Marianne” qu’elle a lancé lorsqu’elle était ministre déléguée auprès du ministre de l’Intérieur en 2021, les sénateurs réagissent. Pour le socialiste Rachid Temal, la désormais secrétaire d’Etat n’a pas assumé ses responsabilités. Le centriste Jean-Michel Arnaud estime lui que cette affaire illustre le bon fonctionnement des “contre-pouvoirs” en France.
Auditionnée pour la deuxième fois par les sénateurs de la commission d’enquête sur les pénuries de médicament, Audrey Derveloy la présidente de Sanofi France accompagnée de Philippe Charreau, directeur des Affaires Industrielles, a répondu aux sénateurs sur la stratégie de l’entreprise. Les deux dirigeants ont justifié la suppression de 135 postes sur les sites d’Aramon et de Sisteron et l’arrêt de la production en France de 13 principes actifs de médicaments.
Le sénateur Bernard Jomier a interpellé le ministre de la Santé François Braun lors de la séance de questions au gouvernement du mercredi 31 mai, suite à la tribune de 16 sociétés savantes dans Le Monde contre l’IHU et le professeur Didier Raoult. Il dénonce l’inaction du gouvernement et de l'université Aix Marseille après les 30 000 essais thérapeutiques “sauvages” menés par l’IHU pendant de la pandémie de Covid-19 dénoncés par ses opposants.
Le gouvernement a présenté ce jeudi 19 avril son programme de stabilité (PSTAB) avec les perspectives économiques pour la période 2023-2027. Le ministre de l’Économie Bruno Le Maire affirme vouloir « désendetter » la France en réduisant les dépenses publiques. Les sénateurs de gauche, de droite et du centre sont sceptiques sur les prévisions gouvernementales et demandent davantage de précisions.
Le président de la République veut « accélérer » sur la réforme du lycée professionnel avec un projet de loi présenté « d’ici l’été ». Annoncé depuis le mois de septembre, le gouvernement entretient le flou sur le contenu de la réforme. De leurs côtés, les sénateurs sont perplexes sur le moment choisi par le président et attendent de connaître le détail de la loi.