Les Etats-Unis et la Russie ont entamé, ce mardi 18 février, des pourparlers pour normaliser leurs relations diplomatiques. Parmi les principaux enjeux de la réunion, le règlement du conflit en Ukraine et l’éventuelle organisation d’un sommet entre Donald Trump et Vladimir Poutine.
En clôture de la première journée du sommet sur l’intelligence artificielle, le président de la République a affirmé que la France était « de retour dans la course » à l’innovation. Energie décarbonée, formations d’excellence… Emmanuel Macron appelle les investisseurs à privilégier la France, face aux Etats-Unis.
L’ouverture du sommet sur l’intelligence artificielle à Paris s’accompagne d’une pluie d’investissements privés, français et étrangers. Invité de France 2 ce 9 février, le président de la République a dévoilé un montant de 109 milliards d’euros « dans les prochaines années ». Parmi les premiers investisseurs annoncés : les Emirats arabes unis et le Canada.
Les 10 et 11 février, la France organise un sommet mondial sur l’intelligence artificielle, où se rencontreront chefs d’Etat, entreprises et scientifiques. L’objectif affiché par l’Elysée, qui pilote l’évènement : sortir de la dépendance de la Chine et des Etats-Unis.
Ce lundi, Donald Trump est devenu, à 78 ans, le plus vieux président de l'histoire des Etats-Unis à être investi. Dans un discours revanchard, le républicain a promis de s'attaquer à une « élite corrompue et radicale », sous le regard de son successeur et désormais prédécesseur Joe Biden. Il a aussi annoncé entre autres les premiers actes de son offensive anti-immigration. Pour Public Sénat, André Kaspi, historien et spécialiste de la politique américaine, revient sur cette investiture inédite.
Donald Trump a été officiellement investi comme le 47ᵉ président américain lundi. Lors de son discours au Capitole, le dirigeant a de nouveau réitéré ses menaces commerciales et annoncé la sortie des États-Unis de l’accord de Paris sur le climat et de l’Organisation mondiale de la Santé. « L’Union est européenne est divisée. Et c’est le jeu de Donald Trump de la diviser encore plus », analyse le président (LR) de la Commission des affaires européennes au Sénat Jean-François Rapin, invité de Public Sénat ce mardi.
Tout juste investi, le président des États-Unis, Donald Trump, a annoncé dans un discours aux accents revanchards la signature d’une multitude de décrets, visant notamment à mettre en œuvre ses promesses de campagne en matière de lutte contre l’immigration ou à en finir avec la politique économique de son prédécesseur.
Officiellement investi ce lundi comme président des États-Unis, Donald Trump inquiète une partie de ses alliés européens, à la fois sur le plan géopolitique comme le plan économique. Quelle position l’UE doit-elle adopter face à ce nouveau rapport de force ? Plusieurs experts en débattaient au Sénat mercredi 15 janvier. Si la nécessité de conserver des liens importants avec l’allié américain est mise en avant, plusieurs d’entre eux appellent à une transformation majeure de la relation transatlantique.
Les Etats-Unis et le Qatar ont annoncé la conclusion d’un accord entre Israël et le Hamas pour un cessez-le-feu dans la bande de Gaza à partir du 19 janvier. Néanmoins, l’accord reste fragile alors que plusieurs points comme l’acheminement de l’aide humanitaire ou l’administration de la bande de Gaza restent en suspens. Décryptage de Pierre Razoux, historien.
Deux sénateurs des Français de l’étranger font le point sur la situation de leurs compatriotes, dans la plus grande ville de Californie, en prise avec des incendies ravageurs depuis six jours.
Au moins cinq personnes sont mortes dans les incendies qui ont ravagé Los Angeles, en Californie, ces derniers jours. Menacé par les flammes, le quartier d’Hollywood a été évacué par les autorités ce jeudi. Ces mégafeux, rarissimes dans la région en plein hiver, sont la conséquence de conditions météorologiques défavorables et accentuées par le dérèglement climatique. « La Californie s’est réchauffée d’au moins 2 degrés dans la région depuis 1900 » rappelle ainsi le climatologue Benjamin Sultan.
Le président élu américain Donald Trump a adopté un ton menaçant, mardi, auprès de plusieurs pays étrangers. Le milliardaire a multiplié les déclarations fracassantes, tant sur l’éventualité d’une annexion du Canada que du Groenland ou sur la reprise du contrôle du canal du Panama. Des déclarations qui « ne sont pas à prendre au mot », selon Lauric Henneton, maître de conférences et spécialiste de la politique américaine. Selon cet expert, il s’agit avant tout pour Trump d’user du rapport de force pour obtenir des bénéfices économiques.