Après la tentative d’assassinat qui a ciblé Donald Trump, candidat à la présidence des Etats-Unis, Elon Musk a affiché ouvertement son soutien au républicain. Un ralliement qui permet à l’homme d’affaires de s’assurer de la préservation de ses intérêts, notamment de son entreprise spatiale SpaceX. Mais également la traduction d’un rapprochement idéologique entre les deux hommes.
En cas de victoire de Donald Trump en novembre, James David Vance deviendrait le plus jeune vice-président de l’histoire des Etats-Unis. Le sénateur républicain de l’Ohio de 39 ans, a pris officiellement place aux côtés de Donal Trump sur le ticket de son parti, par acclamation des délégués à la convention républicaine de Milwaukee dans le Wisconsin. Il a été préféré à un homme d’affaires du Dakota et à un latino de Floride.
Menacé dans son propre camp, Joe Biden joue son avenir politique à l’occasion d’une grande conférence de presse. Le président américain devra rassurer les démocrates sur sa capacité à rester en poste pour les quatre prochaines années.
Le sommet de l’Otan s’est ouvert lundi 8 juillet à Washington et se déroulera jusqu’au jeudi 11 juillet. Un rendez-vous décisif pour l’Ukraine qui cherche à pérenniser l’aide occidentale. Pour les 75 ans de l’Otan, les alliés, qui n’ont jamais été aussi nombreux, tenteront également de structurer leur politique industrielle de défense.
Dans l’affaire de l’assaut du Capitole, Donald Trump avait saisi la Cour suprême pour revendiquer l'immunité totale dans le cadre de l'enquête. Ce lundi, les juges ont tranché : par six voix contre trois, la Cour considère que « le président ne jouit d'aucune immunité pour ses actes non officiels », mais qu'il « a droit au moins à une présomption d'immunité pour ses actes officiels ». Pour Anne Deysigne, juriste et américaniste, auteur du livre à paraître « La capture de la Cour suprême par la droite radicale » aux Presses universitaires de Nanterre, il s’agit d’une « décision dangereuse car elle crée un précédent ».
Pendant 90 minutes, Joe Biden et Donald Trump ont débattu sur tous les sujets. Aucun des deux prétendants n’est officiellement investi par son parti respectif, mais le débat était très attendu. Une confrontation désastreuse pour Joe Biden qui est apparu diminué, mais qui ne devrait pas profiter à Donald Trump, estime le docteur en civilisation étasunienne Alexis Pichard.
Du 5 au 7 juin, Emmanuel Macron a prévu une « pérégrination mémorielle » de trois jours pour commémorer le 80e anniversaire du débarquement allié en Normandie. A cette occasion, plusieurs cérémonies sont prévues et de nombreux chefs d’Etat attendus. En pleine campagne présidentielle américaine, Joe Biden doit prononcer un discours avant d’enchaîner par sa première visite d’Etat en France. L’historien André Kaspi, spécialiste des Etats-Unis, analyse les enjeux d’une semaine vécue très différemment des deux côtés de l’Atlantique.
La condamnation de Donald Trump, pour avoir maquillé des paiements destinés à acheter le silence d’une actrice pornographique, ne devrait pas l’empêcher de briguer un nouveau mandat de président, face au sortant Joe Biden. Ce verdict place néanmoins le camp républicain, et plus largement les Etats-Unis, dans une situation totalement inédite à un peu plus de cinq mois du scrutin.
Après les frappes iraniennes sur Israël dans la nuit du samedi 13 avril au dimanche 14 avril, un cabinet de guerre israélien se réunit à nouveau ce lundi. Pour le moment aucune décision n’est prise mais les Etats-Unis qui se sont réaffirmés dans la région, appellent à la désescalade.
Six mois après l’attaque du 7 octobre, les représailles israéliennes contre le Hamas menacent désormais le sud de la bande de Gaza. La question humanitaire dans l’enclave a vu progressivement s’éroder les soutiens à Israël. Interrogé par Public Sénat, David Rigoulet-Roze, spécialiste du Moyen-Orient, revient sur la situation à Gaza et en Israël.
Dimanche 11 février, l’ancien président américain Donald Trump affirmait qu’en cas de réélection, les Etats-Unis ne viendraient pas au secours si une agression devait avoir lieu contre un pays membre de l’OTAN. Davantage un bluff qu’une réelle éventualité, pour le général Dominique Trinquand.
Ce n’est pas la première fois que Donald Trump se montre sceptique vis-à-vis de l’OTAN. Mais ce dimanche 11 février, l’ancien président des Etats-Unis, en lice pour une nouvelle candidature, a passé un nouveau pallier en déclarant qu’il ne «protégerait pas » un pays qui ne remplirait pas ses obligations de dépenses en matière de défense. Pire, le Républicain explique qu’il « encouragerait la Russie à faire ce qu’elle veut » contre ces pays. Analyse avec André Kaspi, historien et spécialiste des Etats-Unis.