Pour l’ancien conseiller spécial de Nicolas Sarkozy, invité de Public Sénat, Israël se trouve face à un « dilemme tragique » depuis l’attaque du 7 octobre. Il pointe notamment les conséquences humanitaires et internationales qu’aurait une invasion de la bande de Gaza par les forces militaires.
Le parti de droite populiste, l’UDC, vient de remporter haut la main les élections au Conseil national (chambre basse) avec 28,6% des voix, renforçant sa place de première formation politique du pays, loin devant le Parti Socialiste, deuxième formation politique du pays qui a obtenu 18%. Le deuxième tour de l’élection du Conseil des Etats (chambre haute), est à venir, suivi par la désignation des membres du gouvernement le 13 décembre. Décryptage par Anke Tresch, professeure de sciences politiques à l’Université de Lausanne et responsable de l’étude électorale suisse Selects.
Emmanuel Macron a pris la parole jeudi soir, indiquant que 13 Français étaient morts dans l’attaque lancée samedi par le Hamas contre l’Etat hébreu. Dix-sept autres sont toujours « portées disparus ». Il a par ailleurs vivement critiqué « ceux qui confondent la cause palestinienne et la justification du terrorisme », une adresse à peine voilée à LFI.
Lors des questions au gouvernement du 11 octobre, le sénateur centriste Hervé Marseille a interpellé la Première Ministre sur l’implication du Qatar et de l’Iran dans les attaques terroristes du Hamas contre Israël survenues le 7 octobre.
Israël a lancé sa contre-offensive après l’attaque d’ampleur menée ce week-end, sur son territoire, par le Hamas. Public Sénat revient sur les principaux termes utilisés pour expliquer le conflit israélo-palestinien.
Paris et Tel-Aviv ont tissé des rapports depuis la naissance de l’Etat hébreu, rapports marqués à la fois par la volonté de la France de maintenir une politique étrangère tournée vers le monde arabe et par sa position sur le conflit israélo-palestinien. Vue d’ensemble.
Interrogés par Public Sénat, plusieurs membres de la commission des affaires étrangères du Sénat réagissent à l’offensive lancée ce week-end par le Hamas dans le sud d’Israël. Ils pointent notamment le rôle joué par l’Iran, qui pourrait fracturer l’ensemble de la région.
Mardi 19 septembre, l’Azerbaïdjan a lancé une offensive militaire contre le territoire du Haut-Karabakh, enclave séparatiste de population arménienne. Ce territoire, disputé depuis des décennies par l’Arménie et l’Azerbaïdjan, faisait l’objet d’un cessez-le-feu depuis le 9 novembre 2020. Les frappes de ce mercredi auront duré moins de vingt-quatre heures, avant de cesser à nouveau. Les différentes parties s’installeront demain à la table des négociations. La ministre des Affaires Etrangères Christine Colonna, après avoir condamné les attaques, a contemplé l‘annonce du cessez-le-feu avec prudence : « Nous verrons si c’est bien le cas. ». Explications sur la situation avec Gaïdz Minassian, enseignant en relations internationales à Sciences Po et journaliste au Monde.
La venue en France du souverain britannique est un signal supplémentaire du réchauffement récent des rapports entre Paris et Londres. Patrick Chevallereau, chercheur associé à l’Institut de Relations Internationales et Stratégiques (IRIS), revient auprès de Public Sénat sur la nature et les enjeux de ce rapprochement.
Pour les institutions internationales, Taïwan n’est pas reconnue comme un pays et se trouve donc exclu des grandes instances telles que l’ONU et l’OMS. Pourtant, à l’inverse de la Chine, Taïwan est une démocratie libre, où le peuple a le droit de décider qui gouverne. Là où la Chine, impose, contrôle et désinforme, Taïwan joue la carte de la transparence. Une ambition démocratique rendu possible grâce au numérique comme le présente le documentaire « Taïwan, démocratie numérique » du réalisateur japonais Kenichi Watanabe.
Le 2 août à l’aube, des attaques de drones russes ont provoqué d’importants dégâts sur les infrastructures portuaires ukrainiennes du Danube. D’après les autorités ukrainiennes, Kiev a également été visée par des appareils explosifs, mais les engins auraient été abattus par l’armée ukrainienne.
Au sixième jour du coup d’État militaire au Niger ayant renversé le président élu Mohamed Bazoum, les pressions s’accentuent. Paris a amorcé une opération d’évacuation de ressortissants français et européens tandis que le Burkina Faso et le Mali, pays voisins dont les pouvoirs en place sont également issus de coups d’États, ont mis en garde contre toute intervention armée. Éclairage auprès de plusieurs experts.