Le président du groupe écologiste au Sénat, Guillaume Gontard, a condamné ce 5 février les propos du président américain. Donald Trump veut « prendre le contrôle de la bande de Gaza ». Il appelle à une réaction forte de la diplomatie française, à travers une reconnaissance de l’État palestinien.
Ce 17 janvier, le cabinet de sécurité du gouvernement israélien a validé l’accord de cessez-le-feu, conclu avec le Hamas dans la bande de Gaza. Un conseil des ministres doit se réunir dans la foulée pour donner son accord final, qui ouvrira la voie à la libération au début de la trêve dimanche 19 janvier, et la libération le même jour des premiers otages.
La conclusion d’une trêve entre Israël et le Hamas doit être entérinée ce jeudi 15 novembre. Cet accord, tel que dévoilé par les médiateurs et certains journaux israéliens, devrait entrer en vigueur dimanche pour ensuite se décliner en trois étapes.
Après 24 ans de pouvoir, Bachar al-Assad a fui la Syrie, chassé par une offensive éclair du groupe islamiste Hayat Tahir Al-Sham. Une large partie du pays est désormais aux mains d’une coalition de rebelles, aux soutiens et intérêts divergents. De la Turquie à l’Iran, en passant par Israël, tour d’horizon des enjeux de la chute du régime Assad, qui bouleverse les équilibres régionaux.
Le Premier ministre israélien et son ancien ministre de la Défense sont frappés d’un mandat d’arrêt par la Cour pénale internationale. Une première pour des dirigeants soutenus par les pays occidentaux. Alors que Joe Biden dénonce une décision « scandaleuse », le Quai d’Orsay y voit « un point juridiquement complexe ».
Plusieurs dizaines d’Israéliens ont été blessées à la sortie d’un match entre l’Ajax d’Amsterdam et le Maccabi Tel-Aviv ce jeudi 7 novembre aux Pays-Bas. Les assaillants ont notamment crié des slogans pro-palestiniens. Emmanuel Macron dénonce « des violences qui rappellent les heures les plus indignes de l’Histoire ».
Deux gendarmes français ont été arrêtés par des forces de l’ordre israéliennes ce jeudi 7 novembre lors du voyage diplomatique de Jean-Noël Barrot. Peu avant, le ministre des Affaires étrangères avait refusé d’entrer dans un site religieux français à cause de la présence de policiers de l’Etat hébreu armés à l’intérieur. Cédric Perrin y voit la « victoire de la violence sur le droit ».
Invité au micro de Public Sénat à réagir à la victoire de Donald Trump, Cédric Perrin, président (LR) de la commission sénatoriale des affaires étrangères, estime qu’il faut se montrer prudent vis-à-vis des annonces, parfois fracassantes, faites par le Républicain pendant la campagne électorale sur les questions de politique internationale.
Malgré les avertissements d’une large partie de la communauté internationale, les parlementaires israéliens ont voté lundi plusieurs mesures d’interdiction contre l’Unrwa, l’agence des Nations unies pour les réfugiés palestiniens, largement implantée dans la bande de Gaza. Auprès de Public Sénat, Jean-Paul Chagnollaud, politologue et président de l'iReMMO, l'Institut de recherche et d'études Méditerranée Moyen-Orient, et Daniel Charbit, professeur de science politique à l’Open University of Israel, décryptent les motivations et les conséquences de cette décision.
Le président de la République a ouvert la conférence internationale en soutient au Liban ce jeudi 24 octobre à Paris. L’objectif est de récolter 426 millions d’euros à la fin de l’événement pour aider le pays. Le chef d’Etat, qui a promis d'en débloquer 100 millions, a rappelé les liens « séculaires entre le France et le Liban » et a demandé que la « guerre s’arrête au plus vite ».
Ce 24 octobre, Emmanuel Macron ouvrira une conférence de soutien au Liban, en présence notamment du Premier ministre Najib Mikati et du secrétaire général des Nations unies. L’objectif est de mobiliser la communauté internationale, alors que la guerre entre Israël et le Hezbollah a déjà fait 1 500 victimes et près d’un million de déplacés.
Les propos d’Emmanuel Macron sur la création de l’Etat d’Israël ont mis le feu aux poudres et suscité une vive réaction, notamment au Sénat. Le Président de la chambre haute du Parlement s’indigne de ces déclarations en Conseil des ministres et affirme que le droit à l’existence d’Israël ne doit pas être mis en doute alors que le chef de l’Etat semblait demander à l’Etat hébreu de respecter le droit international.