Israël a lancé sa contre-offensive après l’attaque d’ampleur menée ce week-end, sur son territoire, par le Hamas. Public Sénat revient sur les principaux termes utilisés pour expliquer le conflit israélo-palestinien.
Invité le 10 octobre sur le plateau de Public Sénat, le général Dominique Trinquand qualifie les attaques du Hamas contre la population israélienne de « crimes contre l’humanité ». Alors que les autorités israéliennes annoncent plus de 1 000 morts dans les attaques perpétrées depuis le 7 octobre, la question de la qualification des crimes commis se pose.
Depuis le lancement des attaques du Hamas le 7 octobre, les erreurs du Premier ministre israélien dans ces tragiques événements sont pointées du doigt. De quoi Benjamin Netanyahou est-il responsable ? Alors que l’heure est à l’union nationale, son gouvernement peut-il résister à la crise ?
Paris et Tel-Aviv ont tissé des rapports depuis la naissance de l’Etat hébreu, rapports marqués à la fois par la volonté de la France de maintenir une politique étrangère tournée vers le monde arabe et par sa position sur le conflit israélo-palestinien. Vue d’ensemble.
La vague d’attaques du groupe islamiste devrait avoir une première conséquence géopolitique en freinant le rapprochement que Riyad et Tel Aviv ont tenté d’opérer ces derniers mois.
Depuis le 7 octobre, l'organisation qualifiée de terroriste par la plupart des pays occidentaux, mène une attaque d’ampleur contre Israël, qui a fait des centaines de victimes. Retour sur l’histoire du Hamas, dont les attaques ouvrent une nouvelle page dramatique dans le conflit israélo-palestinien.
Certains socialistes demandent de rompre avec LFI, ou de casser la Nupes, suite à la réaction de LFI face à l’attaque du Hamas contre Israël, dénonçant une « ambiguïté » des insoumis. Les propos de Manuel Bompard qui exprime une « condamnation totale » de l’attaque ne calment pas le jeu. Evoquant « le massacre » de la rave party, le député LFI Paul Vannier affirme lui que le Hamas « commet un acte qu’on peut qualifier de terroriste, tout comme les bombardements de civils opérés par l’armée israélienne ». Pour le sénateur PS Patrick Kanner, l’épisode « est l’occasion de clarifier ce que doit être l’union de la gauche ».
Ce samedi, le Hamas a mené une attaque terroriste d’ampleur sur le territoire israélien, ciblant directement des villages, des habitations, ou encore un festival de musique techno. Plusieurs centaines de morts sont annoncés au sein de la population civile israélienne et palestinienne et une centaine d’otages pris par le Hamas. L’ampleur de cette opération, ainsi que les caractéristiques des populations capturées (femmes, enfants, personnes âgées), est inhabituelle. Cette stratégie du Hamas, qui vise à utiliser ces otages comme monnaie d’échange, place Israël dans une situation extrêmement difficile.
Samedi 7 octobre, le Hamas a lancé une attaque terroriste de grande ampleur contre Israël, faisant des centaines de morts. L’offensive a été menée depuis la Bande de Gaza, où des otages israéliens ont été ramenés. Depuis plusieurs décennies, l’enclave est le lieu de la mobilisation politique palestinienne. Explications.
Interrogés par Public Sénat, plusieurs membres de la commission des affaires étrangères du Sénat réagissent à l’offensive lancée ce week-end par le Hamas dans le sud d’Israël. Ils pointent notamment le rôle joué par l’Iran, qui pourrait fracturer l’ensemble de la région.
Après l’attaque du Hamas en Israël et la guerre qu’elle a déclenché ce week-end, le ministre du Travail accuse une partie de l’extrême gauche, notamment le NPA, de complaisance avec les terroristes, et dénonce l’ambivalence de La France Insoumise.
Après l’attaque lancée samedi par le Hamas contre Israël qui a fait plus de 700 morts côté israélien, la commission des Affaires étrangères exprime « son soutien et sa solidarité avec le peuple israélien »