Avant le discours prononcé par Emmanuel Macron en fin de journée, une série de commémorations se sont tenues ce jeudi 13 novembre à Saint-Denis et à Paris. 132 personnes sont mortes dans les attentats de 2015 au Stade de France, sur les terrasses parisiennes et au Bataclan. Des épisodes empreints d’une intense émotion, une décennie après les faits.
ENTRETIEN - Dix ans après les attentats de Paris et de Seine-Saint-Denis, qui ont coûté la vie à 130 personnes, l'ancien ministre de l'Intérieur, Bernard Cazeneuve, revient auprès de Public Sénat sur cette nuit de terreur, et la gestion de crise aux côtés du Président de la République et du Premier ministre.
ENTRETIEN – Dix ans après les attentats du 13 novembre 2015, l'ancien président de la République revient auprès de Public Sénat sur le déroulé des attaques terroristes de Seine-Saint-Denis et de Paris. Il détaille la gestion de la crise et les décisions prises cette nuit-là, mais analyse aussi l'évolution du pays face à cette épreuve.
Pour le dixième anniversaire des attentats du 13 novembre 2015, des commémorations se tiennent du samedi 8 au dimanche 16 novembre 2025 à Paris et à Saint-Denis, à la mémoire de victimes.
Les LR et Renaissance se divisent pour les municipales à Paris. Le parti de Gabriel Attal officialise son soutien à Pierre-Yves Bournazel, cadre du parti d’Edouard Philippe, au détriment de la candidature de Rachida Dati. Le sujet divise à Renaissance et le responsable du parti dans la capitale, Sylvain Maillard, qui soutient la ministre, se met en retrait de ses fonctions. Explications sur une décision qui rebat les cartes du scrutin.
Sûreté, électricité, fuite d’eau, chauffage… Auditionné par le Sénat en février 2025, Kim Pham, administrateur général de l'Établissement public du musée du Louvre, dressait à l’époque un tableau inquiétant sur l’état de « délabrement » du plus grand musée du monde. Emmanuel Macron venait alors d’annoncer un plan de « Renaissance » du Louvre pour 800 millions d’euros.
Le Bureau politique des Républicains doit se réunir prochainement pour statuer définitivement sur l’exclusion des LR qui ont accepté d’entrer au gouvernement. Si cette décision est confirmée, Rachida Dati, ministre de la Culture, pourrait perdre son investiture pour les élections municipales à Paris, ce qui, paradoxalement, priverait la droite de sa figure de proue dans la capitale.
L’ancien Premier ministre a été préféré, par la Commission nationale d’investiture de LR, à Rachida Dati pour représenter la droite lors de l’élection législative partielle à Paris. La ministre de la Culture a assuré qu’elle serait quand même candidate.
Rien ne va plus dans la 2e circonscription de Paris, où les prétendants de marque se bousculent pour la législative partielle prévue à la rentrée. L’ancien premier ministre LR, Michel Barnier, vise cette circonscription en or pour « revenir dans l’arène », tout comme la ministre de la Culture, Rachida Dati, qui pourrait en faire un « lancement de campagne » pour les municipales, sans oublier sa collègue du gouvernement, Clara Chappaz, pour Renaissance…
La victoire d’Emmanuel Grégoire, dès le premier tour, lors de la primaire PS qui l’opposait au sénateur Rémi Féraud s’explique notamment par « la volonté de tourner la page Hidalgo » chez les militants, mais aussi le poids des rapports de force issus du congrès PS ou la « dérive clanique » autour de la maire sortante.
Fidèle parmi les fidèles d’Anne Hidalgo, homme de l’ombre, le sénateur Rémi Féraud n’a pas remporté son pari. C’est Emmanuel Grégoire qui a gagné la primaire interne au PS. Peu connu du grand public, Rémi Féraud est pourtant au cœur de la gauche parisienne depuis des années.
Les adhérents PS de la capitale ont désigné le député Emmanuel Grégoire pour représenter leur couleur aux municipales. L’ancien premier adjoint d’Anne Hidalgo, brouillé avec la maire sortante, bat le sénateur Rémi Féraud, qui avait été adoubé par l’ancienne candidate à la présidentielle.