Invité de la matinale de Public Sénat, François-Noël Buffet, ministre auprès du ministre de l’Intérieur, évoque les sujets migratoires et la possibilité pour Beauvau de présenter plusieurs textes sur l’immigration plutôt qu’une grande loi comme évoqué par Bruno Retailleau à l’automne.
Invitée de la matinale de Public Sénat, la ministre déléguée chargée de l’égalité entre les femmes et les hommes, Aurore Bergé, est revenue sur l’ouverture de négociations sur la réforme des retraites. Alors que le parti socialiste menace toujours de voter la censure, le Premier ministre pourrait livrer des précisions durant sa déclaration de politique générale au Sénat.
Reçus à Matignon, les syndicats agricoles ont rappelé leurs attentes à la veille du discours de politique générale de François Bayrou. Ces derniers insistent pour une action rapide du gouvernement, mais également l’inscription de plusieurs textes à l’ordre du jour des assemblées.
Invité de la matinale de Public Sénat, le député LR du Val-de-Marne, Vincent Jeanbrun a détaillé la position de son groupe sur une éventuelle suspension de la réforme des retraites. Une ligne rouge pour la droite qui envisage néanmoins certaines modifications de la réforme de 2023, notamment sur les carrières longues.
Plusieurs sessions de négociations ont eu lieu ces derniers jours entre les différentes forces de gauche et le gouvernement pour trouver un accord sur le budget. Au cœur des discussions : la réforme des retraites. Le gouvernement de François Bayrou peut-il revenir sur l’âge légal de départ, fixé à 64 ans par la réforme de 2023 ? « La porte est ouverte, (...) il n’y a pas de tabou », a lancé ce jeudi la ministre de la Transition écologique.
Le député (PS) de l’Essonne Jérôme Guedj demande ce mercredi matin sur Public Sénat de nouvelles « avancées » en échange de la contrepartie de la « stabilité » du gouvernement de François Bayrou. Pour l’élu, « il n’y a pas le choix » que d’aboutir à un accord de non-censure. Parmi les revendications des socialistes, il met en avant la volonté de plus de « justice fiscale pour financer les services publics ».
Le décès de Jean-Marie Le Pen, mardi, a provoqué des rassemblements dans plusieurs villes françaises pour célébrer sa disparition. « Je trouve nul de se réjouir de la mort d’un homme », a pour sa part, exposé le député et porte-parole du Parti socialiste Jérôme Guedj, invité de la matinale de Public Sénat ce mercredi matin. L’élu a toutefois rappelé qu’il ne fallait pas « édulcorer le parcours » de l’ex-figure du Front national.
Le 7 janvier 2025, au moment des hommages aux victimes des attentats de Charlie Hebdo et de l’Hyper cacher, la famille de Jean-Marie Le Pen a appris son décès à l’AFP. La mort de cette figure de l’extrême-droite française a suscité la réaction de la classe politique sur les réseaux sociaux. Les mots du Premier ministre, en particulier, ont fait réagir la gauche qui dénonce des propos « indignes ».
Iran, Israël, bande de Gaza, Liban, Syrie… Emmanuel Macron a détaillé ce lundi devant les ambassadeurs les positions françaises sur les grands enjeux internationaux en cours au Proche et au Moyen-Orient. Le président de la République a notamment pointé du doigt le rôle de Téhéran dans les différentes crises en cours dans la région. « L’Iran est aujourd’hui un risque si nous le laissons hors du cadre », estime-t-il.
Après avoir apporté son soutien à l’extrême-droite allemande, le milliardaire et propriétaire de X, Elon Musk s’affirme progressivement comme un porte-parole majeur de l’extrême-droite mondiale. En agissant durant les périodes de tensions sociales ou d’élection, Elon Musk fait planer un risque de déstabilisation des démocraties européennes.
A quelques jours de la déclaration de politique générale le 14 janvier, le ministère de l’économie et des finances organise des consultations avec les différents groupes parlementaires représentés au Parlement. Malgré cela, les compromis sur le budget et les équilibres financiers devraient être difficiles à trouver.
Alors qu’Emmanuel Macron a une nouvelle fois évoqué la possibilité d’organiser un référendum sur 2025, plusieurs sujets pourraient faire l’objet d’une consultation. Néanmoins, le recours à l’article 11 écarte certaines thématiques majeures comme l’immigration.