Le président du Conseil économique et social (CESE) circule comme potentiel Premier ministre, alors qu’Emmanuel Macron peine à trouver un profil politique qui fasse consensus pour construire des majorités à l’Assemblée nationale. Interrogés par Public Sénat sur l’hypothèse d’une nomination de Thierry Beaudet à Matignon, les sénateurs de gauche comme de droite s’interrogent sur la ligne politique qui pourrait être celle de cet ancien instituteur.
Malgré l’annonce d’un budget stable en volume, le gouvernement prévoit plusieurs arbitrages entre les différents postes budgétaires. Les crédits alloués pour la mission « Travail et emploi » doivent diminuer de trois milliards d’euros. Loin du « budget réversible » annoncé par Matignon estime le rapporteur général du budget au Sénat.
14 juin 1940, sous les yeux abasourdis des Parisiens, les troupes de la Wehrmacht entrent dans Paris, qui s’est rendu sans combattre. Pourtant la guerre est loin d’être terminée, et dans l’ombre la lutte entre les résistants et les forces allemandes continue. Une guerre tactique et souterraine, qui se joue dans des lieux cachés de la capitale. Des lieux aux histoires secrètes, sur lesquels le documentaire de Stanislas Kraland, « Paris, les lieux secrets de l’Occupation », diffusé cet été sur Public Sénat, se propose de revenir.
A moins de deux semaines de la rentrée scolaire, aucun Premier ministre n’a encore été nommé. C’est donc la ministre démissionnaire de l’éducation nationale, Nicole Belloubet, qui devrait être présente pour la rentrée scolaire. Une incertitude politique qui fait redouter des tensions pour la rentrée scolaire alors qu’un certain nombre de réformes impulsées par Gabriel Attal font leur apparition.
A six semaines du dépôt du projet de loi de finances sur le bureau de l’Assemblée, aucun premier ministre n’a encore été nommé. Une situation qui pourrait déboucher sur une crise politique majeure. Les sénateurs fustigent notamment le temps pris par Emmanuel Macron pour nommer un premier ministre qui menace le respect des délais de présentation du budget.
Élu pour la première fois sénateur en septembre dernier, Vincent Louault, membre d’Horizons et du groupe LIRT, représente l’Indre-et-Loire au Palais du Luxembourg. S’il a succédé à son père à la chambre haute, il veut imposer son propre style, avec franc-parler. Il confie à Public Sénat son regard sur son parcours, sa première année au Sénat, et la situation politique actuelle. Découvrez son entretien de notre série d’été sur les nouveaux sénateurs.
Raphaël Daubet a été élu sénateur du Lot en 2023. Membre des radicaux de gauche, ce proche de Jean-Claude Requier (ancien président du groupe RDSE au Sénat) a renoncé à son fauteuil de maire de Martel pour siéger à la chambre haute. Il revient pour nous sur sa première année de mandat.
Elu pour la première fois sénateur en septembre dernier, Khalifé Khalifé, apparenté LR, représente la Moselle au Palais du Luxembourg. Elu local depuis plusieurs années, il raconte à Public Sénat le début de son mandat au Sénat, les événements qui l’ont marqué et les sujets qu’il souhaite porter. Découvrez le premier portrait de notre série d’été sur les nouveaux sénateurs.
En opération séduction depuis le 7 juillet, Xavier Bertrand ne cache plus vraiment ses ambitions et semble prêt à devenir Premier ministre. Une hypothèse qui divise au sein de son propre parti, tiraillé sur la stratégie à adopter durant cette législature.
Avec douze médailles d’or à six jours de la clôture des Jeux Olympiques, les athlètes français réalisent leur meilleure performance depuis 2000. Un succès des politiques de soutien aux athlètes qui doit encore se pérenniser.
Après les actes malveillants qui ont paralysé une partie du réseau SNCF le 26 juillet, les sénateurs pointent l’insuffisance des investissements pour régénérer le réseau, en particulier le système d’aiguillage. Les sénateurs plaident pour un système de commande centralisé réduisant la vulnérabilité du réseau.
Pensée comme un régime parlementaire, où le gouvernement procède de l’Assemblée nationale, la Cinquième République a vu, au fil des décennies, le poids de la figure présidentielle se renforcer suivant la manière dont les chefs d’Etat successifs envisageaient leur fonction. Mais le paysage politique issu des législatives anticipées pourrait amener à une lecture plus littérale de la Constitution.