La Première ministre Élisabeth Borne, le ministre la Transition écologique, Christophe Béchu, et la secrétaire d'Etat chargée de la Biodiversité Sarah El Haïry, ont détaillé ce lundi 27 novembre l'ensemble des mesures de la nouvelle stratégie nationale biodiversité (SNB). Près d'un milliard d'euros doivent la financer en 2024.
Interviewé aux journaux télévisés de France 2 et TF1 dimanche soir, Emmanuel Macron a évoqué, parmi d’autres sujets, la question écologique. Cette séquence a eu lieu la veille de la présentation par le Président de sa « feuille de route » pour la transition écologique devant le Conseil de la planification écologique, avec dans la foulée une nouvelle prise de parole pour dévoiler le contenu de ce plan. Décryptage de cet enchaînement d’interventions médiatiques avec Philippe Moreau-Chevrolet, professeur à Sciences Po et directeur du cabinet de communication MCBG Conseil.
La Première ministre Elisabeth Borne a exposé ce lundi, aux chefs des principaux partis politiques, les axes de la planification écologique, l’un des grands chantiers du quinquennat. Le débat s’est cristallisé sur les moyens à déployer pour parvenir aux objectifs que la France s’est fixée.
À neuf mois de la fin de son mandat, la présidente de la Commission européenne a dressé un bilan de son action devant les eurodéputés. Une présidence marquée par la pandémie de covid-19 et le retour de la guerre sur le sol européen, mais qui a aussi été l’occasion d’un desserrement inédit de l’étau budgétaire.
Dédié essentiellement au financement du logement social, le livret A pourrait dans le futur financer d’autres secteurs. En l’espace d’un semestre, plusieurs tentatives ont abouti pour rediriger une partie de l’épargne des Français, d’autres sont restées au stade d’idées.
La commission d’enquête sénatoriale sur l'efficacité des politiques publiques en matière de rénovation énergétique livre un bilan mitigé de la réfection des logements en France. Si les aides de l’État ont permis quelques avancées, il y a urgence à « relever le défi de l’accélération de la rénovation des logements » à la fois pour des enjeux climatiques que sanitaires et industriels.
À l’heure où la transition énergétique en France doit s’accélérer, la mission d’information du Sénat sur les carburants durables et l’hydrogène vert formule 27 recommandations pour simplifier le nœud réglementaire.
Dans un rapport rendu public mercredi, cet organisme indépendant estime que la France s’est retrouvée en difficulté pour répondre aux événements climatiques qui l’ont frappée en 2022. Le Haut conseil pour le climat appelle le gouvernement à accélérer de manière drastique sur les mesures de réduction des émissions de gaz à effet de serre, mais aussi à développer des politiques qui soient davantage dans l’anticipation des risques à venir.
Emmanuel Macron a dévoilé ce vendredi son plan de soutien à la transition écologique dans le secteur aérien. Il prévoit notamment d’aiguiller 200 millions d’euros vers la fabrication de biocarburants, avec un objectif de 500 000 tonnes produites d’ici 2030.
Le texte du gouvernement, qui vise à réindustrialiser la France et implanter des activités nécessaires à la décarbonation de l’économie, arrive au Sénat. S’ils souscrivent aux objectifs, les sénateurs doutent cependant de l’impact de ses mesures. En commission, les parlementaires ont cherché à desserrer les contraintes sur le zéro artificialisation nette et ont redonné du poids aux instances locales.
Le projet de loi Industrie verte est examiné cette semaine en commission au Sénat. Les rapporteurs ont dévoilé leurs propositions de modifications. Parmi elles : une meilleure association des collectivités dans les décisions d’implantation de grands projets industriels et une retouche sur le dispositif du plan d’épargne avenir climat.
Interrogé lors des questions d'actualité au gouvernement, le ministre de la Transition écologique est revenu sur ses déclarations sur la proposition de l'économiste Jean Pisani-Ferry de créer un impôt exceptionnel sur le patrimoine financier pour la transition climatique. Après avoir affirmé que « ce n'était pas un tabou », Christophe Béchu a affirmé dans l'hémicycle que l'écologie ne « devait pas être un prétexte » pour augmenter les impôts.