L'intégrale du mercredi 10 janvier

Au programme de cette édition : l'interview politique de Geoffroy Didier, député européen Secrétaire général délégué des Républicains. Emmanuel Macron aura fait durer le suspense. Ce mardi, le Chef de l'Etat a finalement nommé Gabriel Attal Premier ministre en remplacement d'Elisabeth Borne. Sur les bancs de l'opposition, les réactions divergent... . En dépit de ces "origines" socialistes, le nouveau Premier ministre ne déplaît pas à la droite. À cinq mois des élections européennes, Gabriel Attal va devoir mener la bataille et tenter de contrer un Rassemblement national en tête des sondages. Devant la popularité grandissante de Jordan Bardella, Gabriel Attal est-t-il le meilleur choix pour élargir la majorité et pour conduire une campagne européenne dynamique ? Nous l'interrogeons. Nous recevons également Agnès Evren sénatrice (LR) de Paris. Gabriel Attal a été nommé Premier ministre, le plus jeune de la Ve République, à l’âge de 34 ans. Le macroniste de la première heure s'est imposé au fil des mois et des sondages comme la personnalité la plus populaire du gouvernement et de la majorité. Sa première tâche sera de former un nouveau gouvernement. Avec quels équilibres partisans ? Sa nomination va-t-elle permettre à Emmanuel Macron de relancer son quinquennat ? Nous l'interrogeons. Enfin dans le Club des Territoires, nous revenons sur le départ d’Elisabeth Borne qui intervient quelques semaines après l’adoption de la loi sur l’immigration, qui avait fracturé le camp présidentiel. Nommé mardi Premier ministre, Gabriel Attal devient à 34 ans le plus jeune chef du gouvernement de l'histoire de la République. Une ascension spectaculaire pour celui qui, ces dernières semaines, est devenu le plus populaire des macronistes. Un nouveau défi pour le nouveau locataire de Matignon, qui a pour mission d'offrir à Emmanuel Macron l'élan que son second quinquennat n'a jamais trouvé. Comment expliquer cette ascension fulgurante ? Quelles conséquences politiques ? Sa nomination peut-elle suffire à relancer le quinquennat d’Emmanuel Macron ? Nous en débattons