L'intégrale du vendredi 05 avril

Au programme de cette édition : l'interview poltique de Stéphane Troussel, président (PS) du département de la Seine-Saint-Denis et porte-parole du Parti Socialiste. C'est le site sportif le plus cher de ces JO de Paris 2024, avec ses 175 millions d'euros d'investissement, qu'Emmanuel Macron a inauguré ce jeudi. Le tout nouveau Centre aquatique olympiqu... e est le site emblématique des JO situé à Saint-Denis. Il s'agira donc d'un héritage important pour la Seine-Saint-Denis, département le plus pauvre de France. Son ouverture au grand public amplifiera la disponibilité d’équipements aquatiques dans un département qui en manque cruellement. À quelques mois des Jeux olympiques et paralympiques de Paris 2024, les habitants de Seine-Saint-Denis ont-ils vu leur vie s'améliorer comme promis ? Nous recevons également Rachid Temal, sénateur (PS) du Val-d'Oise, rapporteur de la commission d’enquête sur les politiques publiques face aux opérations d'influences étrangères. Depuis le début de la guerre en Ukraine il y a deux ans, la bataille de l'information menée par la Russie a pris une tout autre ampleur. Et à la veille des élections européennes et alors que les JO approchent eux aussi à grands pas, la France est plus que jamais la cible de cyberattaques et de tentatives de désinformation de la part de puissances étrangères. La Russie est, en particulier, dans le viseur. Est ce que la cyberguerre finira par remplacer la guerre armées contre armées ? Nous l'interrgeons Enfin dans le Club des Territoires. L’absence de dynamique de la candidate de la majorité, Valérie Hayer, tête de liste Renaissance se confirme. Pire, cette dernière voit le troisième candidat, la tête de liste PS-PP Raphaël Glucksmann, se rapprocher dangereusement avec 13 % des intentions de vote et se positionne comme la principale force de gauche. En installant un duel aussi musclé avec le Rassemblement national, la majorité conforte le statut de favori de Jordan Bardella. Alors, les européennes sont-elles déjà pliées ? Nous en débattons