Censure : les Français paieront-ils l’addition ?
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Au programme de cette édition : l'invité du jour est Jérôme Fourquet, politologue et directeur du département "opinion" de l'Ifop. L'occasion d'évoquer le drame de Crépol et la mort de Thomas un adolescent de 16 ans, poignardé à mort. Ce drame met en lumière le face à face entre deux mondes, celui d'une France périurbaine et celui d'une France de... s quartiers. Est-ce la marque d'une "décivilisation" ? Comment répondre à ces fractures culturelles et identitaires ? On fait le point. Nous recevons également André Reichardt, sénateur (Apparenté LR) du Bas-Rhin. En 2024, des dérogations numériques vont faire leur grand retour. À huit mois des JO, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez, a annoncé la mise en place d'une attestation obligatoire pour les automobilistes et piétons pouvoir circuler librement dans Paris. Dans un communiqué publié ce mercredi, la commission des lois du Sénat s'est étonnée d'apprendre l'instauration du dispositif de QR Code et s'interroge sur la base légale de tels dispositifs. Un dispositif que Laurent Nunez est venu défendre lors d’une audition devant la commission des lois du Sénat ce jeudi après-midi. Les sénateurs sont-ils rassurés ? Nous l'interrogeons Enfin dans le club des territoires. L’examen du projet de loi immigration se poursuit en Commission des Lois à l’Assemblée nationale. Remplacée par une «aide médicale d’urgence», plus restrictive pour les sans-papiers, à la chambre Haute, l’AME a été rétablie à une grande majorité. Les députés ont par ailleurs rétabli l'article 4 du projet de loi immigration, qui doit permettre l'accès immédiat au travail de certains demandeurs d'asile. Après la commission des Lois à l'Assemblée, quel avenir pour le projet de loi immigration ? Nous revenons aussi sur les JO de Paris. À huit mois des Jeux, le préfet de police de Paris, Laurent Nuñez a dévoilé les contours du dispositif de sécurité pour les Jeux de 2024. Des mesures qui ont suscité la colère des parlementaires et des juristes. Certains dénoncent des mesures prises "sans aucune consultation préalable", quand d'autres évoquent un dispositif "sidérant". L’objectif sécuritaire justifie-t-il ce moyen ? N’y avait-il aucun autre moyen de faire face aux enjeux sécuritaires ? Nous en débattons
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