Une fois par mois, Public Sénat propose dans "Ciné Club" un grand film ou une fiction politique présenté par Claire Chazal.En amont de la diffusion, elle interroge une sénatrice ou un sénateur et ils commentent ensemble l’histoire et le contexte du film et ses résonnances dans le présent, ou dans l’actualité.
« C’était un petit surdoué, une sale gosse d’une impertinence rare » se souvient Michel Drucker… Chanteur lyrique de formation, devenu imitateur et comique, Thierry Le Luron a marqué par sa brève carrière le paysage culturel et médiatique des années 70 et 80. Tissé d'interviews de ceux qui l’ont connu ou admiré et de larges extraits de sketchs, le documentaire de Jacques Pessis « Le Luron en campagne » diffusé sur Public Sénat montre combien Thierry Le Luron était insolent à une époque où l'humour n’était pas aussi libre qu’on pourrait le penser aujourd’hui.
« Ce n’est plus de la passion, c’est de l’addiction », voilà comment Guy Savoy décrit son quotidien au travail. Installé dans le somptueux hôtel de la Monnaie à Paris, le chef est devenu un monument de la gastronomie française. En dehors des cuisines, pas question de se reposer, il publie un nouvel ouvrage Guy Savoy cuisine les écrivains : XIXe, dans lequel est sublimé l’appétit des auteurs du siècle romantique. Invité de Rebecca Fitoussi dans l’émission Un monde, un regard, le maître queux revient sur sa carrière et la place de la gastronomie dans l’hexagone.
Sorti en 1961, Le Président d’Henri Verneuil n’est pas seulement un film, c’est une plongée dans les arcanes du pouvoir et les dilemmes de la République. Adapté du roman de Georges Simenon, le long-métrage met en scène Jean Gabin dans le rôle d’Émile Beaufort, ancien président du Conseil, figure tutélaire qui incarne une certaine idée de la politique : celle du courage, du sacrifice, du sens du devoir et de la responsabilité.
Ce texte transpartisan vise le « renversement de la charge de la preuve », en cas de contentieux entre un auteur et une entreprise d’IA, qui aspirent énormément de contenus sans payer de droits d’auteur aux ayants droit français. Ce texte est « une première pierre », selon la sénatrice Laure Darcos, pour espérer faire bouger l’Europe comme les opérateurs d’IA. L’objectif final est d’assurer la rémunération des auteurs.