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Sur le papier, le Kurdistan irakien est un pôle de stabilité en plein coeur d'une des régions les plus tendues du monde. Entourée par la Syrie, la Turquie, et l'Iran, cette région autonome rattachée à Bagdad, vante sa solidité sur le plan politique et ses perspectives florissantes de développement économique. Mais derrière le vernis, qu'en est-il... réellement ? Le Kurdistan irakien, pourtant épargné par l'invasion américaine de 2003, a été profondément déstabilisé par l'arrivée de l'organisation état islamique et en paye encore le prix aujourd'hui. Centaines de milliers de déplacés irakiens sur son sol, minorités religieuses persécutées comme les yézidis, les Kurdes doivent encore gérer cet après Daech avec leurs alliés occidentaux. C'est dans ce contexte que Christian Cambon, président de la commission des Affaires étrangères et de la Défense du Sénat, débute sa mission au Kurdistan. La région est, de longue date, stratégique pour la France. Au vu du climat sécuritaire précaire, l'hexagone soigne ses alliés kurdes, en première ligne pour lutter contre un éventuel retour de l'EI dans la région. Mais le Kurdistan fait aussi face à de graves problèmes internes, notamment sur les plans politiques et économiques, qui viennent obscurcir l'avenir d'un territoire déjà sur le fil. Au point de susciter chez une part importante de la population, l'envie de prendre tous les risques pour migrer vers l'Europe. Au gré des déplacements du parlementaire français, coiffé de sa casquette de diplomate, et des récits de personnalités de la société civile kurde, nous dressons le portrait-robot d'un territoire à l'épreuve.
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